Filtrer
Éditeurs
Langues
L'artilleur
-
Quarante ans après la fameuse finale de Coupe d'Europe de1976, le « capitaine Larqué » raconte ses années extraordinairesà Saint-Etienne. De l'arrivée au club en provenance de son Béarnnatal jusqu'à ses plus beaux souvenirs sportifs et humains, ildit l'attachement viscéral qu'il porte à ce club authentique etpopulaire. Il interroge aussi ses coéquipiers et ensemble, ils fontle récit de leur amitié, de leurs débuts, de leurs grandes saisonssportives et de leur légendaire épopée européenne.Anecdotes étonnantes, choses de la vie sportive mais aussi dela vie privée, tous ces garçons issus des classes moyennes ou dumonde ouvrier brossent, à travers le récit de leurs rêves de foot,de leurs souffrances et de leurs sacrifices, un portrait vivant de laFrance et du sport des années 1970 où les solidarités étaient encoreprofondes. Tous n'avaient qu'un seul objectif : faire honneur aumaillot vert, le maillot d'un club qui ne ressemble à aucun autre !
-
Le bruit des crampons ; et autres souvenirs de foot
Hughes Berthon
- L'artilleur
- 16 Mars 2016
- 9782810006991
« J'aime l'odeur du gazon fraîchement arrosé qui monte vers les tribunes.
J'aime acheter des maillots.
J'aime suivre les matchs de mes fils et discuter avec leurs éducateurs.
J'aime être le monsieur qui accepte de faire équipe avec les plus petits quand des gamins m'acceptent dans leur match au square.
J'aime aller au stade, à Geoffroy Guichard ou ailleurs.
J'aime m'engueuler avec mon copain Lyonnais les soirs de derby.
J'aime que mon cadet me demande des Mercurial pour son anniversaire.
J'aime écouter les talks à la radio.
J'aime parler de foot au bureau.
J'aime écouter mes garçons me raconter, avec tant de détails qu'un dîner n'y suffit pas, les incroyables buts qu'ils ont marqués dans la cour l'après-midi.
Je n'y connais pas grand chose, je ne suis pas un expert, mais j'aime le foot. Je l'ai toujours aimé.
Ces souvenirs ne m'appartiennent pas. Ils sont à tous mes frères de terrain, les anciens, les contemporains, les futurs. Ceux que je connais et tous les autres. »