Aujourd'hui, dit Marc Rousset, « Une Europe hybride cherche sa voie ». Et si cette voie passait par la redécouverte de l'identité « franque », du temps de son unité ? La question est posée dans les pages qu'on va lire, avec une audace intellectuelle qui nous change des sempiternels rabâchages. De quoi alimenter un débat fort opportun, à l'heure où l'on commence à comprendre que, si l'on n'y prend garde, l'élargissement de l'Europe risque de conduire à la dilution de son énergie. Alain Peyrefitte (extrait de la préface)
Depuis 1973, les cours de change fluctuent librement, ce qui ne permet pas aux particuliers et aux entreprises réalisant des opérations à l'étranger de connaître à l'avance la contrepartie en francs des flux en devises qu'ils doivent recevoir ou verser dans le futur. Ce risque supplémentaire dénommé le risque de change (de transaction) peut remettre en question des projets jugés a priori intéressants. Aussi, les entreprises et les particuliers vont devoir gérer ce risque de change, par exemple, en essayant de garantir aujourd'hui les cours auxquels ils convertiront les flux futurs en devises. L'objet de cet ouvrage est de présenter les différentes techniques de gestion du risque de change.
Le XXe siècle finissant aurait-il banalisé le tragique ? Pour les années les plus récentes, quel bilan provisoire peut-on établir en termes juridiques et géopolitiques des grandes crises « militaro-humanitaires » qui, depuis 1991, sur de multiples terrains, notamment du Kurdistan au Rwanda en passant par la Somalie et l'ex-Yougoslavie, ont largement renouvelé la place et le rôle de l'aide humanitaire internationale dans la société internationale contemporaine ? Il importe d'abord d'étudier les modalités concrètes de l'assistance qui contribuent à sa définition juridique et à sa délimitation. Malgré les développements importants qu'elle a connus, l'aide humanitaire est cependant aujourd'hui en procès. Elle a suscité maintes polémiques notamment celle qui porte sur son régime juridique, celle qui concerne sa signification politique... Au total, si l'aide humanitaire internationale a pu apparaître comme un terrain de consensus, elle n'en demeure pas moins un objet de controverses. * Fruit d'un travail collectif élaboré dans un cadre original, ce livre s'inscrit dans un continuum de plus de quatre années qui a permis au Centre d'Études et de Recherches Internationales et Communautaires (CERIC) d'Aix-en-Provence de réunir dans des contextes divers, colloques, séminaires, enseignements spécialisés de troisième cycle, les différentes catégories d'acteurs et certains grands témoins de l'aide humanitaire internationale. Ces personnalités ont bien voulu, dans ces différents cadres, enrichir les analyses des universitaires en apportant leurs expériences, réflexions et conclusions. Qu'elles soient ici remerciées pour tous ces apports.
La France s'interroge-t-elle vraiment sur son déclin ? Elle est la seule des principales puissances industrielles à connaître une forte détérioration de ses positions mondiales et de ses échanges industriels, à avoir des entreprises globalement en manque de fonds propres et des exportations dominées par les ventes de produits à faible contenu technologique. Conséquence dramatique : la France reste à l'écart de la création d'emplois. Pourtant, depuis quelques années, les firmes françaises se sont profondément restructurées, de grands groupes se lancent dans des opérations d'envergure mondiale, le partenariat européen innovatif devient un axe stratégique majeur... Alors ? le déclin de l'industrie, qui conditionne la santé de l'économie tout entière, est plus complexe qu'on veut bien le penser et ses paradoxes apparents ne doivent pas nous servir de prétexte pour sombrer dans une auto-flagellation morbide ou un optimisme béat. Ce livre met à nu les causes de ces difficultés. Il définit et favorise l'émergence de priorités fondamentales et cohérentes qui, seules, pourront donner à la France les moyens de sa survie à l'aube du XXIe siècle.
Cet ouvrage intéressera tous ceux qui croient que l'égalité professionnelle est un facteur clef de développement des entreprises. Il s'adresse en particulier aux entreprises, aux responsables de la gestion des ressources humaines et aux représentants du personnel qui entendent mieux maîtriser ce domaine, ainsi qu'aux conseils d'entreprise qui souhaitent intégrer la dimension de l'égalité des chances dans leur pratique. Il est également conseillé aux étudiants de gestion, droit social et économie du travail.
Quel rôle jouent les mathématiques dans la théorie économique? Quelle place doivent-elles prendre dans la démarche scientifique de l'économiste? Le débat sur l'usage des mathématiques en économie renvoie à la question de la scientificité du discours.
Cet ouvrage présente l'ensemble du processus de mise en oeuvre des budgets locaux. Traitant à la fois des questions budgétaires et comptables tout en intégrant des développements sur la réforme de la comptabilité locale, il appréhende les fondements mêmes de cette exécution (séparation des ordonnateurs et comptables, obligation de dépôt...) et ses mécanismes, ainsi que les différentes formes de contrôle afférentes. Complété par d'utiles informations statistiques et par un système de questionnement figurant en annexe, cet ouvrage s'adresse aux étudiants de l'enseignement supérieur, aux candidats aux concours administratifs mais aussi à tous ceux qui sont intéressés et/ou concernés par la gestion des affaires locales, les élus locaux en premier lieu.
Peut-on dire que l'Afrique invente, aujourd'hui, les voies propres de son efficacité industrielle ? Certainement, mais trop lentement.
L'Afrique demeure le continent le moins industrialisé. Et une fraction importante de son industrie est sous contrôle étranger. Pourtant, une classe nouvelle d'entrepreneurs africains se constitue, inégalement selon les pays. Ces chefs d'entreprises - privées ou publiques - doivent surmonter bien des obstacles. Le sous-équipement, le morcellement, et la fragilité politique du continent, ne sont pas des moindres.
Les erreurs de gestion des entreprises industrielles sont encore trop fréquentes. Causes d'échecs, elles freinent le rythme d'industrialisation que les gouvernements voudraient accélérer.
Des expériences, réussies ou malheureuses, semble se dégager un modèle de gestion spécifique et original. Il convient de l'affirmer et de le confirmer, tout en remédiant aux erreurs en partie dues à l'inexpérience industrielle. Cet ouvrage voudrait y contribuer.
Au moment où. l'économie internationale n'en finit pas d'hésiter à redémarrer et semble se satisfaire d'une vitesse de sustentation minimum, la finance internationale, quant à elle, prospère. Un méga marché financier aux extraordinaires capacités de mobilisation de fonds est en train de se constituer. Avec la déréglementation et la montée d'une économie de titres négociables (« titrisation »), on assiste à un véritable foisonnement d'opérations nouvelles qui ont d'emblée une dimension internationale et correspondent à l'entrée en scène de nouveaux acteurs venant bousculer « l'establishment » bancaire. Cependant, au lieu de seulement s'attacher à une simple description technique (Swaps, options, futures, facilités de prises fermes renouvelables, etc.), c'est à une ample tentative d'interprétation systématique de la révolution financière actuelle que se livre l'auteur. À travers les problèmes du dollar et de la finance internationale, il fait apparaître l'extraordinaire plasticité et, simultanément, l'unité profonde du Système monétaire et financier international. Dans cette nouvelle synthèse, H. Bourguinat montre aussi que quelles que soient les performances de la nouvelle finance internationale, celle-ci appelle une reprise en mains. Si l'on veut en particulier la faire sortir de sa « bulle » spéculative et éviter de succomber au vertige de la nouvelle alchimie qu'elle pourrait véhiculer, il convient d'envisager d'urgence une réforme des paiements internationaux dont l'auteur explore avec précision les voies et moyens.
Au défi que constitue, pour la majeure partie des pays membres de l'OPEP, l'épuisement proche de leurs ressources, s'ajoute le défi auquel se trouvent confrontés ces pays désireux de promouvoir une économie diversifiée et autonome en un laps de temps record. Ces pays n'ont-ils pas trop présumé de leurs forces, ainsi que de la volonté sincère de leurs partenaires du monde industrialisé de les aider dans la réalisation de cet objectif.
L'expérience de ces dernières années, montre que la poursuite de cet objectif bute, souvent, sur un certain nombre d'obstacles, qui limitent grandement la capacité d'absorption interne. De ce fait, l'injection massive de liquidités dans ces économies, en vient à créer de nouveaux problèmes, qui s'ajoutent aux obstacles structurels découlant du sous-développement. L'inflation et les distorsions économiques et sociales qui en résultent, défavorisent les investissements productifs et, de façon générale, l'effort au profit des investissements et des comportements d'ordre spéculatifs. La croyance implicite est, en effet, que tout peut s'acheter dont le temps. D'où, le plus souvent, un ralentissement du rythme de croissance de l'économie, et le gaspillage de ressources rares, d'autant plus rares qu'elles sont épuisables. Ce gaspillage profite, essentiellement, aux économies industrialisées, qui récupèrent de ce fait une partie de la rente pétrolière. C'est qu'il existe une logique économique particulière aux économies de rente, comme en témoignent les cas historiques de l'Espagne et du Portugal. Le développement des pays producteurs suppose, en définitive, le dépassement de cette logique.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage examine les fondements théoriques de la politique économique. La liaison entre les concepts de l'analyse et les décisions de la politique économique, est présentée pour des questions aussi variées que l'économie publique, les politiques de régulation conjoncturelle, les politiques de répartition des ressources, les stratégies de change, etc. Des exemples, choisis dans les expériences contemporaines, donnent un caractère concret à la théorie de la politique économique. Ce livre s'adresse à tous ceux qui s'intéressent au passage entre l'analyse et la politique économiques.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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« On peut juger sur cette toile de fond de l'audace d'une démarche qui questionne le rapport de l'argent à l'inconscient, à travers l'exemple Marx. Le propos de Michel Gardaz assume un double défi : d'une part, porter l'enquête au coeur de ce Janus bifront qu'est l'argent, solidairement - mais pas tout à fait dialectiquement - économique et symbolique : l'argent a en effet deux faces, puisque l'homme s'y rapporte par son inconscient et y tient par son appartenance matérielle : d'autre part, exposer ce modèle explicatif à un exemple qui, fort bien choisi pour l'illustrer, s'avère aussi une redoutable épreuve. Il est légitime assurément de supposer un inconscient à Karl Marx, il est beaucoup plus délicat de l'aborder par ce biais. C'est que Marx, dépositeur d'une maîtrise, modèle de savoir et référent de pouvoir, ne saurait s'allonger sur un divan ni se soumettre à une discursivité extérieure sans risque. Risque, justement, de voir vaciller cette maîtrise en y réinscrivant le sujet qui la supporte. Cette double difficulté s'aiguise, mais aussi commence à se résoudre si l'on s'avise qu'elle converge. Aborder le rapport à l'argent du fondateur du matérialisme historique, c'est à la fois faire surgir le rapport d'un sujet au réseau fantasmatique et symbolique dans lequel l'argent est pris pour lui et questionner le rapport théorique du registre économique au registre symbolique. L'enquête nous acclimate progressivement à cette idée qu'il pourrait s'agir du même problème. Sujet et théorie s'expliquent coûte que coûte et vaille que vaille avec ce double effet de l'argent, signe économique et signifiant porteur d'un effet symbolique. » [...] Paul-Laurent Assoun (extrait de la préface)
Je voudrais insister sur deux idées sous-jacentes à la réflexion du CLUB 89, qui m'apparaissent capitales. La première est le refus de la fatalité qui n'est, selon le mot de Romain Rolland, que « l'excuse des âmes sans volontés ». La crise, ou plutôt la mutation que vit notre pays, n'est pas une fatalité. Encore faut-il, pour engager le redressement, prendre garde aux faux remèdes, aux théories que les circonstances nouvelles rendent caduques, à l'étatisme envahissant et sclérosant, au monétarisme intransigeant, à la tentation du repli sur soi qui nous mène, par les chemins du protectionnisme et de l'autarcie, à l'appauvrissement collectif et à l'amoindrissement des libertés. Aucun de ces scénarios n'est inévitable. Encore faut-il avoir la volonté inébranlable de les éviter, et prendre la voie de l'effort et du travail. La deuxième idée forte, c'est que le redressement national exige aujourd'hui une double rupture. Rupture avec les politiques contradictoires mais également dangereuse que conduit, depuis bientôt deux ans, le gouvernement socialo-communiste. Mais aussi rupture avec l'évolution plus ou moins voulue, plus ou moins subie des années 70 qui nous a menés à une forme de socialisation à peine déguisée de l'économie et de la société française. Jacques Chirac
La première édition de cet ouvrage remonte à 1980. Ni somme théorique, ni simple manuel d'instructions, il se voulait surtout un « pont » entre ces deux approches, un guide pratique pour faciliter l'application des diverses méthodes utilisées, en matière d'évaluation des projets, dans les pays en développement et les institutions internationales. Ses éditions successives témoignent de l'intérêt que lui ont porté de nombreux étudiants et professionnels du monde francophone.
La crise mondiale a fait peser, depuis lors, des contraintes macroéconomiques accrues sur les politiques nationales et sur le choix des investissements. La réalisation des « projets » n'en reste pas moins l'instrument obligé du développement économique, et leur analyse en est plus que jamais une étape essentielle.
C'est dans cette perspective, que s'inscrit la cinquième édition de notre « guide pratique ». Profondément remanié, pour répondre aux préoccupations actuelles, il comporte - notamment - plusieurs contributions nouvelles sur l'utilisation de l'outil informatique, et sur les études d'environnement.
Cet ouvrage propose une étude du système monétaire international et de son influence sur le risque de change. Il s'agit de définir, avec précision, comment mesurer le risque de change et d'étudier son évolution lors du passage à un système international de flottement des devises.
À partir d'une étude théorique et statistique particulièrement exhaustive, les auteurs formulent un certain nombre de recommandations en matière de politique économique et de gestion du risque de change par les entreprises.
Ce livre regroupe divers travaux réalisés pour la CEE et le Commissariat général au Plan (CORDES).
La science économique ne remplit pas toujours le rôle qui devrait être le sien dans l'explication des grandes mutations contemporaines : s'essoufflant, souvent, à affiner ses instruments d'analyse, sans se soucier en permanence de les adapter aux évolutions des systèmes productifs, elle ne sait pas apporter - aux interrogations modernes - les réponses qu'on attend d'elle ; il est même presque devenu banal de constater que bon nombre de ses fameux « corpus théoriques » dominants, glissent sur les faits sans s'y accrocher. Pour cette science, dont une des ambitions les plus avouées était d'acquérir son autonomie au regard des autres sciences, il est souvent douloureux d'admettre qu'il faille, couramment, faire appel à l'histoire, à la sociologie, à l'ethnologie... pour percer le sens des évolutions actuelles, et même pour définir de nouveaux concepts opératoires susceptibles de guider les interventions des responsables. Aussi, dans un climat où règnent le paradoxe et l'équivoque, une longue et minutieuse observation s'impose, pour essayer de faire surgir de nouvelles catégories intellectuelles, et pour mener, à partir d'elles, de nouvelles lectures de faits sans cesse plus complexes. C'est là une ambition que l'économie industrielle s'est toujours donnée, et qu'elle a peut-être réussi à mener à bien en développant la notion de « filière » : quand les logiques économiques et technologiques se modifient, quand de nouveaux rapports de force s'instaurent entre de nouveaux acteurs, bon nombre d'espoirs sont fondés sur cette notion, qui doit permettre de décrypter le sens de nouvelles réalités ; c'est, du moins, l'attente de maints économistes, et l'objet des diverses contributions qui constituent cet ouvrage, sera d'en montrer le bien-fondé et les limites. En toute hypothèse, elles arrivent, toutes, à point nommé, pour présenter les nombreuses facettes d'une notion encore bien floue, et dont l'essor s'inscrit dans la logique du développement de l'analyse industrielle.
Les organisations non gouvernementales françaises de développement - en droit « associations loi de 1901 » - sont mal connues, à de rares exceptions près. Or, aujourd'hui en France, plusieurs centaines d'entre elles cherchent à apporter une contribution originale au développement des populations des pays les plus démunis. Les actions qu'elles conduisent, se veulent être la traduction concrète des conceptions des militants. C'est à celles-ci que cette étude s'intéresse : quels sont les motivations, les fondements d'ordre moral, idéologique, politique, qui poussent à cet engagement altruiste ? À un moment où une succession d'échecs dans les stratégies de développement, impose la réflexion, et alors que - depuis quelques années - le gouvernement français a choisi de faire une place plus grande aux O.N.G., dans l'élaboration et la mise en oeuvre de la politique nationale de coopération au développement, les O.N.G. françaises apportent-elles des idées novatrices ?
Pour tenter de répondre à ces questions, sans occulter la grande diversité d'un mouvement en constante évolution, l'étude repose sur une approche documentaire, visant à mettre en lumière les mythes, les images, et les représentations que véhicule le discours des O.N.G. sur le développement. Cette première approche permettra de mieux appréhender, à travers le foisonnement des idées, leurs positions sur les principaux aspects des rapports entre pays en développement et pays développés.
L'analyse économique admet communément un postulat de naturalité foncière, selon lequel la terre serait un bien non produit. L'examen des textes des juristes et des agronomes, l'étude du rapport économique qu'entretiennent le propriétaire foncier et le fermier, démentent cette conception.
Par son activité, l'exploitant agricole détruit la fertilité foncière, comme tout autre service producteur. Une dépense spécifique de moyens de production, rétablit la terre dans sa capacité productive. L'entreprise est partagée en deux sous-ensembles : l'entreprise-marchande, qui produit les marchandises, et le fonds-entreprise, qui élabore le capital foncier. Le propriétaire foncier n'est pas le rentier d'un facteur naturel de la production, mais le détenteur de l'activité de production du capital foncier.
Le maintien du capital foncier dans le temps, conduit à une notion de cycle. Les biens-capitaux sont immobilisés dans le bien-fonds ; les services producteurs sont mobilisés par la production des marchandises. Au terme de chaque période, subsiste un bien non marchand, le capital foncier, porteur de la fonction de production de l'entreprise à venir. Le conflit du propriétaire et de l'entrepreneur a pour objet la proportion relative des productions de capital foncier et de marchandises.
Il existe, en agriculture, divers modes de louage des terres. Le fermage assure un renouvellement à l'identique du capital foncier, tout au long du bail, ce qui peut permettre un certain développement de « l'entreprise » du fermier. Le métayage autorise, au contraire, une croissance continue du capital foncier.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.