Dans le cadre de l'Encyclopédie "Je sais - Je crois" la collection "Jalons" guide dans leur route les millions de jeunes qui vont accéder à l'enseignement secondaire et supérieur. En volumes répondant chacun à une question, elle traite des problèmes de culture chrétienne, d'avenir humain et d'actualité sociale auxquels s'affronte, dans un monde en pleine évolution, une jeunesse qui prend conscience des exigences et des richesses de sa foi. L'ensemble de la collection constitue la base de la bibliothèque du jeune chrétien d'aujourd'hui. Le présent volume : cet ouvrage traite des grandes causes de souffrance qui affectent l'humanité : le sous-développement, la guerre et les tensions internationales, les régimes économiques oppressifs. Inspiré de Teilhard de Chardin, il souligne ensuite la jeunesse de l'humanité et l'importance sans précédent de l'époque actuelle. Il met alors les jeunes devant leurs responsabilités, montrant quelles mesures peuvent contribuer à l'édification d'un monde plus harmonieux et quelles attitudes s'imposent à eux s'ils veulent servir l'homme.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Voici un ouvrage sur Jean de Yepes, plus connu sous son nom de religieux : Jean de la Croix, mystique espagnol, né en Castille en 1542, mort en Andalousie en 1591. Jean de la Croix n'est pas à prendre comme un phénomène, comme une exception comme quelqu'un qui représenterait un cas limite. On ne trouvera pas dans ce livre une « initiation » à la mystique qui prétendrait conduire le lecteur dans sa vie spirituelle, ou qui viserait à lui apprendre des pratiques, des « extases » ou n'importe quel yoga de l'âme. Explorer son oeuvre et sa vie, ce n'est certes pas s'engager dans l'exploration d'un monde étrange et exotique. C'est passer au centre de la question de Dieu, mais cette question de Dieu, chez lui, donne une réponse à une autre question : « Qu'est-ce que l'homme ? ». Saint Jean de la Croix a dit des choses profondes. Sans hésiter, on peut écrire qu'il a dit l'essentiel de ce qu'il y avait à comprendre pour un homme. Cet essentiel s'adresse à tous : croyants et incroyants, savants et ignorants, philosophes et non-philosophes.
Vingt fois plus d'ermites, en France, qu'il y a vingt ans. De ces hommes et de ces femmes - de ces femmes surtout - qui choisissent de tout quitter pour vivre dans la précarité matérielle, la solitude et le silence. A la recherche de l'Autre. Juifs, chrétiens, musulmans, mais aussi hindouistes et bouddhistes ont toujours su qu'un des chemins vers la Transcendance - peut-être le plus court et certainement le plus difficile - se trouvait au désert. Mais, depuis deux siècles, rares étaient ceux qui l'empruntaient. Or voici que dans notre monde matérialiste des êtres acceptent et recherchent la faim, le froid, la solitude pour mieux trouver les vraies relations de l'homme avec Dieu.
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La foi ne peut pas se changer, mais, si elle n'est pas au centre de la vie, elle n'est plus rien. Elle ne peut être elle-même qu'en marchant avec la vie. Sinon, elle fait plus que de perdre sa place, c'est sa place qui disparaît. Pour l'esprit comme pour les yeux, la lumière est toujours la lumière ; mais les lampes à huile ne sont plus qu'un souvenir. Une autre manière de situer la foi et de la dire est aujourd'hui nécessaire pour lui conserver sa place. Seules des métamorphoses, supportées dans la douleur ou menées dans la joie, lui permettront de rester elle-même. Nous n'irons plus au ciel... ce n'est pas trop grave, puisque les coeurs purs verront Dieu.
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Des penseurs athées estiment que la croyance en Dieu relève d'une mentalité préscientifique et qu'elle est appelée à disparaître. Si cette thèse est contestable, elle est du moins dans la logique de leurs préjugés. Mais que des penseurs chrétiens adoptent ces vues et se demandent ce que deviendra le christianisme dans un monde sans religion est chose plutôt étrange. Réduire le christianisme à la simple relation de l'homme avec son prochain, le mutiler de sa relation avec Dieu, c'est l'« horizontalisme » absurde que ce livre dénonce. Un Christ qui ne serait qu'un professeur de morale ou un agitateur politique n'intéresserait plus personne. Le vrai problème n'est donc pas celui de l'avenir du christianisme dans un monde post-religieux ; ce qui compte, c'est la forme d'expérience religieuse qui apparaîtra demain. Car, si l'homme de la civilisation industrielle n'est pas moins religieux que celui du passé, les points d'insertion de son expérience religieuse sont différents. Quelles seront les voies qui permettront à l'homme moderne de rencontrer Dieu ? C'est à cette question que l'ouvrage de Jean Danielou répond.
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Pour construire l'avenir sur des bases solides avec élan et audace, il faut d'abord comprendre le monde qui nous entoure, surtout le cheminement de son évolution. Que de conceptions erronées servent de référence à une multitude d'hommes de bonne volonté ! A notre époque, un nombre imposant de "Goliath" se dissimule derrière des montagnes d'ambiguïtés, afin de mieux dominer et étouffer les "David" d'aujourd'hui. Comment aider ceux-ci à reprendre le dessus ? Car il en est toujours plus qui sont indignés, scandalisés, blessés par des responsables de la vie matérielle ou spirituelle... Lorsque dans une construction, des pierres de fondation ou des murs de soutènement s'effritent, la solidité de l'ensemble se trouve gravement compromise. David contre Goliath aujourd'hui propose une vision d'ensemble des forces qui nous stimulent et des dangers qui nous menacent. Ce livre peut apporter d'importants éléments de réponse à des questions vitales. Il veut contribuer à faire retrouver un horizon. En ces temps souvent déroutants et tragiquement difficiles, les bonnes intentions ne suffisent pas pour mettre en oeuvre nos plus fortes puissances de vie.
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Jean Calvin, né à Noyon le 10 juillet 1509, s'éteignit à Genève le 27 mai 1564. L'année 1964 sera donc un quatrième centenaire de sa mort. La phtisie, l'usure due à un travail acharné l'emportaient sur une constitution robuste. « Un Français, un authentique Français, a dit de lui Lucien Febvre, et qui posséda du génie français toutes les caractéristiques essentielles : la sobriété, la mesure, une logique impérieuse et souveraine, un sens critique avisé et redoutable, surtout le don de choisir. » A l'encontre de ce que l'on a prétendu, Calvin fut essentiellement sociable. Ses amis, ses admirateurs, ne se comptent pas. Il se passionnait pour les causes et les idées qui lui paraissaient justes. Loin d'être l'intellectuel glacé que certains imaginent, son tort fut plutôt de céder à ces « affections trop véhémentes » dont il s'accusa dans ses derniers entretiens. Jean Rilliet évoque la carrière du célèbre Picard comme un procès dont il s'efforce de placer les pièces essentielles sous les yeux du lecteur. Page après page, un visage se dessine où la ferveur s'accompagne de colère et la confiance en Dieu d'humaine obstination. Calvin ne fut pas étranger à la nature humaine. Comme Abraham, David et Pierre, il se révèle pétri de chair et de sang.
Ces entretiens donnés dans le cadre de la "Causerie religieuse" de Radio-Luxembourg ont abordé différentes questions que se posent nécessairement les parents, chrétiens ou non-chrétiens, soucieux d'une éducation spirituelle pour leurs enfants. On sait l'importance des premières années de l'enfant. Comment assurer heureusement ce départ ? Comment éduquer ensuite la volonté, en suscitant chez l'enfant une liberté réelle ? Comment parler de Dieu ? D'autres sujets ont également été retenus, parce qu'ils préoccupent les parents : illustrés et cinéma, école et catéchisme, et particulièrement l'éducation des pré-adolescents, ces 12-14 ans si difficiles à comprendre. Sans chercher à faire un traité de pédagogie familiale, Jean Orchampt, prenant appui sur les recherches actuelles des psychologues en même temps que sur l'expérience de nombreux foyers, a simplement souhaité répondre à l'inquiétude des parents en partageant avec eux les perspectives d'une vision chrétienne de l'éducation.
La collection « Je sais - Je crois » (traduite en 7 langues) présente - de la façon la plus complète et la plus simple - tout ce qu'on peut désirer connaître sur n'importe quel sujet où est impliquée la religion.
Le présent volume se propose de cerner l'essence de l'Évangile que, pour cela, il scrute d'abord en lui-même : dans son environnement historique, dans son univers physique, moral et dogmatique ; puis, en sa vie éternelle dans la pensée de l'Église : patristique, médiévale, réformée et moderne.
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Jésus est mort sous Ponce Pilate : c'est un fait d'histoire admis par tous ; c'est une phrase du Credo et un article de la foi chrétienne. Jésus est mort jeune : que s'est-il donc passé pour qu'il soit si vite dénoncé, arrêté, condamné, exécuté ? Qu'a-t-il donc fait, quels propos a-t-il donc tenu pour se rendre ainsi insupportable au pouvoir ? Comment son comportement, ses choix, ses relations, ses discours provoquèrent-ils de telles réactions ? Avec ces questions dans l'esprit, on relit l'évangile comme une intrigue, presque comme un récit policier, on en découvre les aspects politiques. L'évangile, c'est l'histoire d'un procès. Au cours de ce procès, les questions essentielles sont posées, celle de l'homme, celle de Dieu ; et celle de Jésus : qui est-il ? C'est finalement son identité réelle qui sans cesse est mise en question. On n'en a jamais fini avec cette question et c'est, peut-être, ce qui justifie ce livre sur Jésus.
Serge Hutin s'est voué à l'exploration résolument méthodique et objective de tous les domaines humains où affleure le mystère, des stupéfiants rites et symboles des sociétés secrètes au « Grand OEuvre » des alchimistes. Voici, cette fois, une grande étude consacrée à ce fantastique, ce plus fascinant des problèmes : celui des civilisations inconnues, celui de ces continents fabuleux, l'Atlantide, la Lémurie et les autres, qui ont alimenté tant de rêves, tant de légendes. Sans quitter un instant une attitude toute de bon sens, sans jamais succomber à l'attrait dangereux des tentations irrationalistes, l'auteur nous donne ici le panorama complet de toutes les traditions, de tous les vieux mythes, des légendes les plus extraordinaires centrées autour du grand thème des civilisations perdues ; il confrontera pour nous toutes les hypothèses, même les plus stupéfiantes, qui ont été avancées par les chercheurs les plus divers sur la localisation, l'histoire et la destinée des Atlantes, des Hyperboréens, plus mystérieux encore. Mais Serge Hutin nous conduira aussi, par la même occasion, à travers toutes ces terrifiantes énigmes archéologiques : les colosses de l'île de Pâques, les ruines de Tiahuanaco, les rochers sculptés de Marcahuasi au Pérou, la terrasse de Baalbek, les ruines sud-africaines de Zimbabwe, autant de sites qui obligent les archéologues d'esprit ouvert à envisager sans frémir les hypothèses les plus insolites, les plus non-conformistes que l'on puisse rêver. Lire ce livre, c'est faire le plus fantastique, le plus merveilleux des voyages - dans l'espace et aussi dans le temps : des splendides légendes grecques à la science fiction déchaînée, de l'Islande et du Pérou à la forêt de Fontainebleau. Un chatoyant feu d'artifice de légendes, de rêveries, d'idées, de théories en marge de l'orthodoxie scientifique - de faits également tout aussi énigmatiques et stupéfiants que les contes les plus oniriques. Serge Hutin examine en toute objectivité la valeur relative de chacune des théories ou hypothèses qui ont été avancées par les archéologues, les historiens, les ethnologues ; il ne craint pas de scruter également les points de vue intrépides de l'ésotérisme ou même du roman fantastique. Finalement, la réalité ne semble-t-elle pas, là comme ailleurs, confirmer la fiction la plus échevelée en apparence ? De plus en plus, ce que découvrent les savants actuels dépasse et ne cessera sans doute jamais de dépasser en étrangeté et en profondeur les « rêveries » les plus stupéfiantes de la vieille humanité. Dans un univers au rythme de plus en plus accéléré et déchaîné, les suppositions les plus délirantes finiront toujours, semble-t-il, par se révéler, tôt ou tard, comme des vérités de fait. Comme toutes les branches du savoir, l'archéologie semble vraiment, elle aussi, matérialiser nos rêves, nos espoirs les plus rocambolesques. Il faut s'attendre sans cesse à de nouvelles trouvailles dans le genre de celle-ci, toute récente : Athènes, 8 août 1961 (correspondance du journal parisien « Le Figaro ») : « On annonce de Milo qu'au cours des recherches sous-marines entreprises par le Grec américain Mathon Kyritsis dans le port de l'île, les scaphandriers se sont trouvés en présence d'une cité inconnue et qui dut être engloutie par les flots à la suite d'un séisme ou d'une perturbation extraordinaire de la nature. On annonce également que des débris pouvant être ceux des bras de la Vénus de Milo ont été récupérés. » Non seulement le fabuleux, mais l'insolite ne devraient jamais être éliminés de manière systématique par le chercheur soucieux de garder pleine rigueur scientifique : conservons toujours notre sang-froid, notre volonté farouche de ne jamais capituler passivement devant le vertige trompeur des irrationnels ; mais attendons-nous toujours à découvrir, dans la réalité tangible, des choses aussi scandaleuses pour notre « bon sens » quotidien que les rêves les plus fous, et parfois, à étudier des trouvailles dépassant elles-mêmes les imaginations exacerbées. N'hésitons donc jamais, tout en sachant garder notre raison, à prêter l'oreille aux vertiges des magiciens : dans toute discipline, ils apportent leur moisson luxuriante, chatoyante, de prodiges et merveilles en tous genres, masse fluctuante au sein de laquelle les savants sauront bien trouver ce qu'ils cherchent.
L'auteur, né en 1926, ancien élève de l'École Normale Supérieure et de l'École Française de Rome, agrégé de l'Université, diplômé de l'École des Hautes Études, chargé d'enseignement à la Faculté des Lettres de Rennes, a commencé dès 1947 ses recherches en étruscologie et civilisation romaine dans lesquels il s'est spécialisé depuis lors. Les campagnes de fouilles qu'il a dirigées, tant pour l'étruscologie que pour l'archéologie orientale, l'ont mené en Afrique du Nord, au Liban, en Syrie, en Jordanie, en Turquie, à Chypre et en Grèce. En plus de ses articles et ouvrages d'archéologie, d'histoire de l'art et d'histoire des religions, il vient d'achever sa thèse d'histoire de l'art étrusque et sa thèse secondaire sur le vocabulaire intellectuel du latin soutiendra fin 1961 en vue du doctorat ès lettres.
Nous sommes à la veille de l'« homme dans l'espace » ; demain, ce sera l'« homme dans la Lune » ; après-demain, la conquête de la planète Mars. Comme l'astronautique, la biologie planétaire est en train de passer du domaine de la science-fiction à celui de la science authentique et, dans les grands observatoires, les études sont poussées activement pour répondre aux questions capitales : quelles conditions la Lune et les planètes proches offrent-elles à la vie ? Les hommes qui y débarqueront bientôt doivent-ils s'attendre à y rencontrer des êtres vivants, et lesquels ? Tels sont les problèmes que M. Pierre Gauroy a entrepris d'examiner dans son livre Les Mondes du Ciel. A la fois naturaliste et astronome, il était assurément éminemment qualifié pour rédiger cette étude passionnante, qu'il mène d'ailleurs selon la logique la plus stricte. M. Pierre Gauroy commence ainsi par définir les conditions auxquelles la vie est possible, puis passe en revue les astres voisins de la Terre en cherchant s'ils répondent à ces conditions. Après la Lune, la planète Mars retient particulièrement son attention, et le lecteur suivra avec le plus puissant intérêt la controverse qui met aux prises les tenants d'une vie martienne et leurs adversaires ; après quoi, l'auteur se demande : « D'où vient la vie ? ». Et il livre une foule d'aperçus nouveaux sur ce problème essentiel. Les Mondes du Ciel constituent le premier livre de l'« homme dans l'espace », le dernier bilan avant le grand départ.
Le présent volume suggère une réponse à des questions capitales telles que celles-ci : quelles sont les formes les plus élémentaires de la vérité de foi ? Quels sont ses développements ? Comment atteint-elle sa forme plénière avec la révélation du Christ et des apôtres ? Comment s'explicite-t-elle dans le dogme ? Va-t-elle, en s'exprimant, s'inféoder à à quelque système philosophique ? Pourra-t-elle demeurer parole de Dieu en se coulant dans le langage des hommes ? La connaissance mystique peut-elle se passer d'une donnée à croire ?...
La Collection "Je sais, je crois" se présente comme la plus complète et la plus simple de toutes les Encyclopédies destinées ou public chrétien. En cent cinquante petits volumes, tout ce qu'un catholique peut désirer connaître sur n'importe quel sujet où sa religion est impliquée se trouve exposé clairement, de façon accessible à tous. La liste des sujets qui y sont abordés (telle qu'elle figure dans les dernières pages du présent ouvrage) montre assez l'ampleur de cette entreprise dont il n'existe aucun équivalent. Chaque sujet est traité par un des meilleurs spécialistes, choisi autant pour ses qualités d'exposition que pour la solidité de sa science.
La collection "Je sais, je crois" se présente comme la plus complète et la plus simple de toutes les Encyclopédies destinées au public chrétien. En cent cinquante petits volumes, tout ce qu'un catholique peut désirer connaître sur n'importe quel sujet où sa religion est impliquée se trouve exposé clairement, de façon accessible à tous. La liste des sujets qui y sont abordés (telle qu'elle figure dans les dernières pages du présent ouvrage) montre assez l'ampleur de cette entreprise dont il n'existe aucun équivalent. Chaque sujet est traité par un des meilleurs spécialistes, choisi autant pour ses qualités d'exposition que pour la solidité de sa science. JE SAIS - JE CROIS, ENCYCLOPÉDIE DU CATHOLIQUE AU XXE SIÈCLE doit être désormais en bonne place dans la bibliothèque de quiconque s'intéresse aux problèmes religieux et veut être ou courant du dernier état de toutes les questions.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.