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Mount Silver
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Le paradis sur terre ! C'est paradoxalement la denrière image qui s'imprima dans les yeux de Romuald Joncour au moment de mourir : il se revit deux heures plus tôt, debout, nu sur la moquette, le sexe en étendard, le corps électrisé par le spectacle de ces trois filles inconnues, qui déployaient devant lui et pour son seul plaisir des trésors d'érostisme. Trois filles qui s'acharnaient maintenant à lui maintenir la tête sous l'oreiller. La dernière question, et elle resta sans réponse: pourquoi ?
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On le croyait rangé aux oubliettes, le vieux mystère du Triangle des Bermudes ! Résolu par la théorie du grain blanc, ce vent d'enfer tombé du ciel qui engloutit à jamais dans l'océan les bateaux, les avions et leurs équipages.
Mais subitement, les étranges disparitions reprennent. Non plus dans l'Atlantique, cette fois, mais au coeur de notre Méditerranée, dans un espace inscrit entre la Crète, Chypre et le port d'Alexandrie : le " triangle du Démon " ! Les drames s'enchaînent très vite : un bateau de pêche s'évanouit, cinq avions chasseurs des forces de l'OTAN disparaissent corps et biens, un jumbo Galaxy renfermant plus de soixante dix militaires et prés de cent tonnes de matériel s'évapore sans laisser de trace.
Autant d'énigmes qui ne peuvent laisser Alix Karol et Bis indifférents, et qui vont les plonger dans la plus angoissante de leurs aventures. Qu'on se rassure : ils exploreront au passage quelques petits triangles délicieux et bien moins terrifiants. -
Une exécution capitale... tout le monde sait ce que c'est !
Un couperet qui dégringole, une tronche qui bascule dans la sciure, du sang bien frais, bien rouge, qui gicle sur l'assistance... Les plus anciens n'ont pas dû manquer ce spectacle jouissif du temps où il se déroulait en public ! Vicelards comme je les connais !
Et une sexécution capitale ?
Hein !
Une tête tranchée, très certainement... Mais de quel genre de tête s'agit-il ? Là est le noeud du problème
J'en raconterais volontiers davantage, mais ce serait déflorer le sujet.
Or, c'est le seul type de défloration que je ne pratique pas !
Si j'ai un conseil d'ami à vous donner : gardez ce livre en pogne et ne changez pas de main pour le lire ! -
Alix Karol 13 Nous avons les moyens de vous faire parler
Patrice Dard
- Mount Silver
- 1 Mars 2014
- 9782847146875
« C'est vrai que vous ne connaissez pas Juliette !
Une gentille petite brune venue tout droit du Béarn et qui roule aussi bien les « r » que les hanches !
Sur le plan de l'intellect pur, elle ne remet pas Schopenhauer en cause. Sa grammaire est plutôt prostatique et elle nous tait parfois des crises de subjonctivite aiguë. Pour parler net, si son sens poétique laisse à désirer, il faut voir comme elle tortille son prose !
A l'heure où nous mettons sous presse, Juliette se trouve à quatre pattes sur mon plumard, moi je suis juste derrière et nous participons à une course de lévriers des plus relevées. Mais la gamine est véloce !
Chaque fois que je crois l'avoir rattrapée, elle se redétache de vingt bons centimètres et ainsi de suite...
Nous sommes à mi-parcours lorsque Bis fait irruption dans ma piaule, nullement gêné par l'intimité de la scène.
-- Regarde, Karolus, gueule-t-il en me collant un article de journal sous les yeux...
Et alors mes aïeux, je me marre, mais je me marre... ," Attention, je ne dirai pas sur cette couverture la raison de mon hilarité
Le passage que je viens de vous livrer est extrait de la dernière page de ce chef-d'oeuvre... Je ne veux pas en avoir écrit deux cents et quelques autres pages pour des prunes...
Non mais des fois ! -
Alix Karol 21 Il ne faut pas vendre la peau de l'URSS
Patrice Dard
- Mount Silver
- 1 Mars 2014
- 9782847146950
Nous nous affaissons bientôt en travers du lit, le corps apaisé, l'âme navigante. "C'était bon... mais ça brûlait !" Je louche sur la table de nuit. "Mince, rigolé-je, voilà que j'ai pris ma gomina pour de la vaseline !" Graziella pousse un interminable soupir : "Quelle idée aussi de se faire la raie au milieu et de se gominer ! A notre époque..." "Qu'est-ce que tu racontes, poulette ? On n'est pas à notre époque... On est en 1930 !" C'est à peu près comme ça que démarre cette histoire. Mais pour la suite, prière d'acheter le bouquin. Je veux bien, à la rigueur, vendre la peau de l'URSS, pas la donner !
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Dure vie que celle d'inspecteur de la Police des Moeurs, à plus forte raison lorsqu'on est membre du "commando spécial" du commissaire Griffon ! On se couche tard le soir - ou tôt le matin - plus souvent qu'à son tour, on traîne sans cesse ses guêtres dans des lieux où se déroulent au vu et au su de tout le monde des actes que la morale est censée réprouver, on abuse - professionnellement ! - des boissons alcoolisées, on fréquente par obligation des individus parfaitement dépravés (un bon côté toutefois : ils apportent chaque jour la preuve que, dans le domaine du sexe comme dans d'autres, l'imagination de l'homme - et de la femme ! - ne connaît pas de limites). Bien sûr, il arrive que l'on voit du pays : tous ces inconvénients méritent bien une petite contrepartie. Mais quelle piètre consolation, vous dira Savary, si votre visite des hauts lieux de New York vous conduit au bout du compte devant la gueule bien noire d'un revolver à silencieux tenu par une charmante tueuse professionnelle folle de son corps... et du reste !
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Entre Lille et Denain, entre Maubeuge et la frontière belge, les Dingues du Hainaut écument la province. Ce sont des brutes sauvages, des assassins primitifs et systématiques, des bandits d'un autre âge, terribles comme le destin. Ils pillent, ils tuent, ils violent, ils terrorisent. Pour leur propre compte, mais aussi pour celui de Levko Torek, un ferrailleur enrichi qui "fait" dans la drogue.
Sur place, dans une ville renfermée où l'on se méfie des "Parisiens", l'équipe du commissaire Griffon risqué de s'enliser dans les secrets, les scandales et les vices d'une bourgeoisie frileuse et d'une pègre mesquine.
Mais, pour Gribovitch et Savary, tous les moyens sont bons, surtout les pires, lorsque les Dingues du Hainaut, avec leurs calibres 12 et leurs mitraillettes, laissent des traînées sanglantes sur les pavés mouillés. -
Des jeunes femmes désirables et très libérées, fréquentant des lieux de rencontres où se pratique l'amour en groupe, se font sauvagement assassiner. Est-ce uniquement parce qu'elles se livrent aux pires excès sexuels ? Ou bien y a-t-il autre chose de plus subtil nécessitant leur élimination ?
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Un meurtre inexplicable juste à la place du mort sur la banquette d'une Mercedes enneigée ; une partie de hockey à vous faire passer le vôtre ; deux profs bizarres dans un drôle de lycée ; un savant américain bien décidé à passer à l'Est ; et une visite de la Hongrie peu recommandée par les guides touristiques ! Sans oublier le bestiaire : maquereaux et sauterelles en tout genre, plus une sacrée petite grenouille. Et puis quelques chacals... Au fait, ça ne sonnerait pas mieux aux oreilles de blaireaux : un chacal, des chacaux ?
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J'ai décidé d'aller plus loin. Toujours plus loin. De livre en livre, je vais surenchérir... Mais je suis honnête, voyez : je préviens mon monde.
L'éditeur, primo, qui a eu tout loisir de virguler mon manuscrit aux cagoinsses.
Le censeur, deuxio, qui peut s'affûter le bic rouge histoire de cocher mes passages outrageants et subversifs.
Et le public, itou, qui a encore la ressource de me laisser quimper sur mon présentoir et de se rabattre sur le catalogue de la Redoute. Seulement j'informe : ceux qui accepteront de me suivre risquent de ne pas être déçus du voyage, pour peu qu'ils sachent faire la différence entre le libéralisme et la liberté, la grossièreté et l'agressivité, la pornographie et la gaillardise, la voracité et la faim, la haine et l'amour...
Jusqu'à désormais, les contestataires ne s'exprimaient que dans des traités emmerdatoires. Moi j'offre ma révolte à petites doses, insidieusement roulée dans la farce et la viande froide !
Tant pis si le vent de ma colère détache quelques lecteurs de ma grappe : les chênes perdent toujours des glands à la mauvaise saison !
Il ne faudrait quand même pas prendre les romanciers d'action que pour des mercantis ! Pas tous...
Pas moi ! -
Faudrait pas croire que ce titre : OBJETS VIOLENTS NON IDENTIFIES cache une aventure de science-fiction ! C'est pas le genre de la maison ! Karolus et Bis donnent plutôt dans le réel !
Ils adorent ce qui est concret, ce qui peut se toucher, se tripoter.
Ils raffolent surtout lorsque la réalité dépasse la friction, si vous voyez de quoi il retourne...
Quant aux OBJETS VIOLENTS, ils sont parfaitement IDENTIFIABLES !
Des poings, d'abord. Coriaces et qui déplaisent aux messieurs !
Et puis d'autres trucs plus durs encore qui enthousiasment les dames.
Faut préciser davantage?
Non, il y a des marmots dans la salle... Banco ! Alors glissez ce bouquin dans vos caleçons des dimanches, le libraire regarde ailleurs !
Maintenant vous mouillez bien votre index et paf... vous tournez les pages ! -
Tous les shtroumbitz, tous les chmugles, les prozibs, les glotmuches itou, les brokstaffs, les mashpros idem, les blikmilcs, de même que les shmolls, sont très rigoureusement authentiques !
Pas une chose, un bidule, un truc ou un machin qui ne soit d'une véracité sans faille.
En somme, et pour être encore plus précis, ce récit est garanti sur fracture ! -
" Tu as soif ? s'informe Jacqueline en saisissant la bouteille de Dom Pérignon.
- Toujours liché-je, la voix étranglée.
Alors la vénus de Septembre Noir se jette sur le lit, et déverse le contenu du flacon entre [...?].
Il y a peut-être loin de la coupe aux lèvres, mais il n'y a pas longtemps. Je me rue auprès de Jacqueline et me regorge du champagne qui pétille encore de mille bulles enivrantes. Jamais calice ne m'a semblé si doux. Jusqu'à la lie, je le consomme et bien au-delà. Lorsque ma soif est enfin étanchée, celle de la fille ne fait que débuter. Une soif inextinguible de caresses et de plaisirs. Je l'abreuve donc de mes baisers. Le contact de [...] imberbes, douces et tièdes, donne à notre étreinte un caractère de véritable baiser. Ma [...] s'insinue avec vivacité et le bout frôle l'amorce.
Soudain, Jacqueline accroche ses mains dans mes cheveux pour imprimer à ma tête un mouvement plus rapide. Ses reins se soulèvent avec rage et accompagnent chacune de mes caresses.
- Ecoute ! Je vais mourir ! hurle-t-elle d'une voix galactique.
J'écoute. Elle meurt effectivement, mais de ce genre de mort dont par bonheur on meurt plusieurs fois.
Au cours de la même nuit ! -
Avec ces petits laïus au dos du bouquin, j'ai l'impression que nous autres, les z'auteurs, on fait la retape pis que les putes !
Achète mon livre, chéri, y a plein de cochonneries dedans ! "
- Prends plutôt le mien, il est plus touffu !
Désormais, moi je renonce à la concurrence déloyale : je me contenterai de dire la stricte vérité.
A savoir que AU MALEFICE DU DOUTE est le plus extraordinaire roman d'espion-nage que l'univers ait jamais porté.
De l'avis général, les précédentes aventures de KAROLUS et BIS étaient déjà authentiquement trépidantes et fertiles en rebondissements.
Et bien, à côté de celles-ci, on pourrait presque les confondre avec le Journal des brodeuses 1
Et pas seulement à cause de la manière dont on y enfile les chas 1
AU MALEFICE DU DOUTE, un roman à lire au bénéfice d'une certitude : c'est un Alix Karol, un vrai ! -
- Voyons, voyons... s'approcha Roger Dallant du cadavre. De prime abord, je dirais que le décès remonte à une douzaine d'heures au minimum, quinze au maximum. Hum. Pas normal, cet angle de la tête avec les épaules. Oui, c'est bien ce que je pensais : la mort a été provoquée par une rupture des cervicales. Après s'être contenté, son violeur lui a tordu le cou, au sens propre du terme.
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Lionel Lemoigne est enfin sorti de prison. Pourtant, sa compagne s'étonne de ne pas le voir. Où est Lemoigne ? Lors de leur enquête, Alex et Sophie vont découvrir qu'il existe des cellules bien plus terribles que celle que l'ex-prisonnier a connu.
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Police des moeurs n°224 L'Effeuilleuse en habit noir
Lucas Pierre
- Mount Silver
- 1 Mars 2014
- 9782847148169
- Vous avez probablement entendu parler de l'Effeuilleuse en habit noir ? supposa le commandant Griffon. - Pour ne pas en avoir entendu parler, répondit Sophie Leclerc, il faudrait habiter sur une île déserte. - Une ex-danseuse classique qui s'est recyclée prématurément dans le strip-tease à thème, résuma Gribovitch. - C'est ça. Le problème, c'est que depuis que son numéro cartonne grâce aux médias, au moins sept personnes ne sont jamais rentrées chez elles après être sorties du cabaret.
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Mea culpa ! (à sec)
Pour l'avoir trop tirée, je bats à présent ma coulpe.
Je confesse que ce livre est scandaleux !
Je confesse qu'il ne respecte aucune va-leur morale !
Je confesse qu'il est injurieux, outrageant, subversif !
Je confesse qu'il renferme des scènes ignominieuses !
Je confesse qu'il en appelle au sadisme, au masochisme et à la perversion !
Je confesse qu'il est truffé de séquences obscènes!
Je con ! Je fesse !
Mais je ne regrette rien !
Car il est purement génial I Sans blague?
Croyait-on vraiment que j'allais donner des confiteons à des cochons.? -
Un détournement d'avion, c'est nettement moins plaisant qu'un détournement de mineur, faut admettre.
Surtout quand on fait partie des détournés Surtout lorsqu'on sait d'avance qu'on sera détourné! Et que le détournement a été organisé pour vous ! Mais Alix Karol et son inséparable Bis n'ont pas coutume de faire des choses plaisantes. Même s'ils les font plaisamment. En Finlande, les nuits sont froides mais les filles sont chaudes. Agréable compensation au suicide programmé de tout un peuple... -
Alix Karol, le personnage créé par Patrice Dard en 1973 en pleine guerre froide est à l'espionnage ce que San- Antonio est au policier. Alix Karol et son compère Bis forment le même couple que San-Antonio et Bérurier, utilisant comme couverture un numéro de music-hall. Ils travaillent pour une organisation tout aussi farfelue qu'eux, les services secrets du tiers monde, pleine de bonnes intentions, chargé de défendre les intérêts des pauvres face aux pays riches. si vous aimez : la photographie en noir et blanc, la gynécologie appliquée, les daimler bordeaux, la manche agitée, les coffres-forts biens garnis, les coups fourrés maison, les salopes endiablées et le foie de veau à l'anglaise... Vous allez être gâtés !
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L'évangile selon moi-même...
Voilà un titre bien singulier ! Encore une facétie d'Alix Karol et de Bis ? Sans doute. Et pourtant... La vie de Jésus est vraiment abordée dans le courant de ces pages. Une biographie si proche de la Vérité qu'elle risque d'effaroucher tous les méchants calotins à qui on en raconte depuis plus de deux mille ans ! Que les amateurs de suspens et de gaudriole ne s'angoissent pas : ils en auront pour leur argent à travers cette aventure palpitante, à la fois cruelle et désopilante, au coeur de la Palestine éternelle. -
On dit que le facteur sonne toujours deux fois... Eh bien, ce matin-là, il a frappé !
Et pas de main morte!
Heureusement, Alix Karol n'est pas un émotif.
Quand on le frappe... il ne se frappe pas. II réplique !
Avec sa queue et ses boules.
Dans une salle de billard, on prend ce qui vous tombe sous la main.
Si Alix Karol et son extraordinaire complice Bis avaient pu deviner qu'au bout de tout ça se profilaient la cordillère des Andes et l'effrayant conseil des Cinquante, ils n'auraient pas oublié d'emporter leurs beaux ponchos des dimanches.
Et voilà !
Comment ? Y'en a qui veulent qu'on leur déballe la suite ?
Faut peut-être aussi leur filer quatre ronds pour acheter le bouquin ?
La société de consommation, c'est ça ! Si tu payes pas, tu meurs con ! -
Des mecs qui se plaignent que tout leur réussisse, vous n'en connaissez pas? Moi si !
Des James Bond de 1,43 m et 38 kilos, qu'un verre de Coca-Cola rétame pour le compte, vous n'en avez jamais vus ?
Moi si...
Et à un homme qui brûle sans produire la moindre cendre, vous n'y croyez pas ? Moi si, j'étais dans l'assistance..
Même que sa fumée, c'était pas du Belge, mais du Hollandais...
Après ça, faudra pas vous étonner si on se tape un bon polder et si l'on chante tous en choeur : « La digue, la digue ! » -
Il existe bien des façons de mourir. La vieillesse, d'abord, la plus enviée, la belle mort, dit-on. L'infarctus, également, très à la mode en ce moment : l'arrêt du coeur, c'est la mort en bonne santé. Sur le podium, on trouve aussi le cancer, cette longue maladie qui n'ose pas dire son nom. N'oublions pas le week-end, non plus : les cornichons qui se tartinent contre un platane sur le coup de 3 grammes du matin. Et puis... il y a eu la mort de Marko ! Une mort sans se fatiguer, puisque d'autres avaient tout organisé à sa place. Heureusement qu'Alix Karol et Bis étaient là pour refaire le diagnostic. Et déboucher sur un pronostic... terrifiant.