Imaginez-vous au Québec à l'orée d'une forêt, quelques ours cachés dans les fourrés. Là-bas, les princesses ne sont pas nées de la dernière averse, les trempeurs de couteau sont bons comme le pain, le diable vous invite à danser et Jos Bezeau connaît la réponse à toutes les questions... Défendu par la fi ne fleur des conteurs québécois actuels, cet album est le témoin passionné de l'éternelle jeunesse du conte dans la belle province.
Avec la participation de : Jocelyn Bérubé, Michel Faubert, Simon Gauthier, Nadine Walsh, Robert Seven-Crows, Renée Robitaille, Alexis Roy, François Lavallée.
Durée : 01H49
Le festival du Rendez-vous des Grandes Gueules s'est rapidement taillé une place de choix dans l'univers du conte au Québec. On y célèbre les traditions tout comme on embrasse le renouveau du conte. Un incontournable pour les artistes qui aiment y retrouver son public extraordinaire, sa convivialité et son esprit de famille. Portrait. Vingt-cinq ans que ça dure ! Vingt-cinq ans de festival à se raconter, se rencontrer et grandir ensemble. Comment fêter ça ? Comme dans un grand banquet, se délecter de la crème de la crème des contes québécois avec les meilleur·e·s convives. Une fête de famille. Un festin de retrouvailles !
Avec la participation de : Jocelyn Bérubé, Wina Forget, Janou Gagnon, Gabrielle Ayotte Garneau, Jean-Marc Massie, Myriam Thibault, Vickie Vincent.
Durée : 04H34
Rappelant les légendes traditionnelles et les contes initiatiques, les cinq histoires de ce recueil mêlent le monde de l'enfance aux destins d'animaux. Ces derniers se voient pris dans un tourbillon d'événements aussi anodins que mystérieux, inspirés de la vie quotidienne. Dans un mélange d'humour et de simplicité, d'ironie et d'amour maternel, l'illustre écrivaine brésilienne écrit pour ses fils Paulo et Pedro, et à travers eux pour tous les enfants de la Terre, avec à ses côtés leur chien Ulysse, qui saute joyeusement de la réalité à la fiction.
« Parce qu'au début et au milieu je vais vous raconter des histoires sur les animaux que j'ai eus, pour vous montrer que je ne pourrais pas avoir tué les poissons autrement que sans le faire exprès. J'ai bon espoir qu'à la fin de ce livre vous me connaissiez mieux et que vous m'accordiez le pardon que je demande pour la mort de deux "tyrougets" - c'est comme ça qu'on les appelait à la maison, "tyrougets". » C. L.