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Papeterie
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Journal d'une peste : à écrire toi-même
Marie-Anne Abesdris, Virginy L. Sam
- La Martinière Jeunesse
- Fiction
- 2 Juin 2016
- 9782732478364
Tu cherches de bonnes raisons de louper l'école ? Des excuses béton pour ne pas avoir rendu un devoir à temps ? Des trucs pour échapper à un repas de famille alors que tu es invitée à une super soirée ? Tu rêves de transformer ta petite sœur en nugget et de savoir dessiner des poux ?
Fannette te livre ici ses secrets de reine des pestes, mais aussi des idées de farces, de découpages... Des coloriages rigolos, des jeux, des activités...
Bref, le premier manuel de pestologie au monde, pour devenir encore plus peste que Fannette, notre peste préférée !
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Comment nos auteurs préférés vivent-ils quand ils s'interrompent d'écrire ? Certains vont et viennent, se promènent, vagabondent. D'autres se posent, le temps d'une saison ou d'une tranche de vie, avec femme, compagnon ou amis. Ils habitent des lieux de passage ou des demeures, qu'ils imprègnent de leur parfum.
De Châtillon-Coligny à Paris en passant par la baie de Somme, la Bretagne ou la côte d'Azur, découvrez Colette sous un nouveau jour. Une balade littéraire pleine de surprises. -
Vincent van Gogh (Groot-Zundert, Brabant, 1853 - Auvers-sur-Oise, 1890)
La vie et l'oeuvre de Vincent van Gogh sont si étroitement liées qu'il est quasiment impossible de voir ses toiles sans y lire le récit de sa vie : van Gogh est en effet devenu l'incarnation du martyr souffrant et incompris de l'art moderne, l'emblème de l'artiste marginal. Le premier article, publié en 1890, donnait des détails sur la maladie de van Gogh. L'auteur de l'article voyait le peintre comme un «génie terrible et dément, souvent sublime, parfois grotesque, toujours à la limite du cas pathologique ». On sait très peu de choses sur l'enfance de Vincent. Á l'âge de 11 ans, il dut quitter le «nid humain », comme il le nommait lui-même, pour poursuivre sa scolarité dans divers internats. Le premier portrait nous montre van Gogh comme un jeune homme sérieux de dix-neuf ans. A cette époque, il avait déjà travaillé trois ans à La Haye et ensuite à Londres, dans la galerie Goupil & Co. En 1874, son amour pour Ursula Loyer s'acheva dans un désastre et un an plus tard, il fut transféré à Paris, contre son gré. A l'issue d'une discussion particulièrement violente au moment des fêtes de Noël 1881, son père, pasteur, ordonna à Vincent de partir. Avec cette ultime rupture, il abandonna son nom de famille, signant ses toiles d'un simple «Vincent ». Il se rendit à Paris et ne retourna jamais en Hollande. Á Paris il fit la connaissance de Paul Gauguin, dont il admirait énormément les peintures. L'autoportrait fut le principal sujet de Vincent de 1886 à 1888. En février 1888, Vincent quitta Paris pour Arles, et essaya de persuader Gauguin de le rejoindre. Les mois passés à attendre Gauguin furent les plus productifs de la vie de van Gogh. Il voulait montrer à son ami autant de toiles que possible et décorer la Maison jaune. Mais Gauguin ne partageait pas sa vision de l'art et rentra finalement à Paris.
Le 7 janvier 1889, quatorze jours après son automutilation, Vincent quitta l'hôpital. Ignorant sa propre folie, il espérait se rétablir et oublier, mais en réalité, il y retourna deux fois cette année là. Au cours de son ultime séjour à l'hôpital, Vincent peignit des paysages dans lesquels il recréait le monde de son enfance. On dit que Vincent van Gogh se tira une balle dans la tempe dans un champ, mais décida de rentrer à l'hôtel et de se coucher. Le propriétaire informa le Dr Gachet et son frère, Theo ; ce dernier décrivit les derniers instants de sa vie qui prit fin le 29 juillet 1890 : «Je voulais mourir. Mais j'étais assis à son chevet, lui promettant que nous allions le guérir. [...] », il répondit : «La tristesse durera toujours. » -
Comment nos auteurs préférés vivent-ils quand ils s'interrompent d'écrire ? Certains vont et viennent, se promènent, vagabondent. D'autres se posent, le temps d'une saison ou d'une tranche de vie, avec femme, compagnon ou amis. Ils habitent des lieux de passage, ou des demeures, qu'ils imprègnent de leur parfum.
Leurs meilleurs biographes ont suivi Victor Hugo et nous racontent.
"Depuis 1834, Victor Hugo fait chaque année, au mois d'août, une longue excursion avec sa maîtresse Juliette Drouet. Presque chaque jour, il envoie une lettre à Adèle, sa femme, qui lui répond poste restante. Bien entendu Victor Hugo est censé voyager seul, par bienséance naturellement.
En Seine-Maritime, des rues, des places, des lycées, des collèges, des écoles, mais aussi un musée portent le nom de Victor Hugo ; pourtant durant sa longue vie il n'y a passé que quelques mois, mais certains lieux ont imprimé leur présence dans sa vie et dans son oeuvre au gré des peines et des joies.
Plus au nord, en Pas-de-Calais, Montreuil-sur-Mer s'impose comme un des lieux fondamentaux du roman Les Misérables..."