Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Langues
Formats
Policier & Thriller
-
Après ses trois premiers romans, plébiscités par les lecteurs et les médias, Patricia Hespel récidive avec "Nos âmes soeurs"
1486 - Depuis la tour où la rancune de son époux la tient recluse, Ludmilla regarde couler les jours d'une existence insipide et sans avenir. L'amertume et la solitude l'ont endurcie, nourrissant jour après jour une obsessionproche de la démence : gagner sa liberté et le droit de décider de son avenir. L'armure qu'elle s'est forgée la protégera-t-elle de ses faiblesses intimes ? 2007 - Sur un trottoir détrempé, Nelly prend conscience du naufrage de sa vie et des mensonges derrière lesquels elle s'abrite depuis l'enfance. Enlisée dans ses échecs, elle se replie sur elle-même et prend peur lorsqu'elle s'aperçoit que des pans entiers de son quotidien échappent désormaisà son contrôle. Est-elle en train de sombrer dans la folie ? Deux femmes à la dérive. Deux femmes en quête d'elles-mêmes. Et si chacune était pour l'autre le chemin vers l'accomplissement ? Nos âmes soeurs est un roman initiatique à deux voix où se mêlent le surnaturel et la fiction historique. -
Dans les souberauts de l'après-guerre, une nouvelle enquête du détective bruxellois, Michel Van Loo
1957. La querelle linguistique entre Flamands et francophones gronde, alimentée par une campagne pour la réhabilitation des inciviques flamands condamnés à la Libération.
Chargé de la filature d'une jeune femme, Gertrude, à Malines, le détective bruxellois Michel Van Loo, la découvre poignardée dans l'entrée de chez elle. Gertrude menait pourtant une vie tranquille. Très vite, Van Loo se rend compte qu'il n'est pas facile pour un francophone d'enquêter en Flandre. Heureusement, sa fiancée, Anne, est bilingue. Et Van Loo s'entête. Il part à la recherche de son mystérieux commanditaire, un certain Diego Bloemkool. Est-ce lui qui a fait éliminer Gertrude ? L'homme a mille visages et plusieurs vies (import-export, producteur de cinéma, patron d'une agence de sécurité...) mais pas d'adresse. Van Loo découvre aussi que Bloemkool fricote avec un personnage tout aussi inquiétant, grand amateur de peinture flamande du XXe siècle, aux accointances pour le moins troubles... -
Quand la justice est confrontée à la mafia albanaise et son code Kanun
Nuit agitée pour Julie Pasteur-Dhoose, la juge d'instruction d'astreinte. Vers 2 heures du matin, elle est réveillée par Réginald Vertongen, le procureur. Un corps criblé de balles a été découvert en ville. La victime, d'origine albanaise, portait un bracelet électronique. Qui est le ou les assassins ? Pourquoi ce meurtre ?
De Bruxelles à Tirana, d'Anvers à Bogota, le roman nous entraîne dans les mondes interlopes de la prostitution, du trafic de drogue et du blanchiment d'argent, au coeur d'une guerre sans merci entre les mafias albanaises et marocaines dans le deuxième plus grand port du monde : Anvers.
À travers cette enquête à haut risque, Michel Claise approche le fonctionnement des mafias albanaises régies par le code Kanun, leurs rites ancestraux, leurs rouages et les moyens parfois violents dont elles usent pour corrompre la société civile. -
Max, commissaire de la brigade financière de Lille, poursuit depuis des années un génial escro cqu'il a surnommé " le Forain "
Dans le jargon policier, la fraude à la T.V.A. est appelée " carrousel ". C'est ce qui a poussé Max, le commissaire de la brigade financière de Lille, à surnommer " le Forain " un escroc qu'il poursuit depuis des années sans parvenir à l'identifier. Ce génial bandit, c'est Frédéric Galliani, un surdoué qui a choisi de régler ses comptes avec la société en empruntant la voie de la criminalité financière.
Ce polar est une première en soi. Il décrit les mécanismes de la fraude - fausses factures, sociétés bidon, comptables véreux, conseillers malhonnêtes, banquiers corrompus, blanchiment des revenus occultes dans les paradis fiscaux - et l'impéritie des services de l'administration fiscale, dépassée par l'ampleur du phénomène. Mais aussi les moyens policiers destinés à les détecter et arrêter les coupables. -
Une course-poursuite haletante dans le Chili de Pinochet Prix des lycéens 2019 Le roman de Michel Claise nous entraîne avec son jeune héros, Jorge, dans une course-poursuite haletante à travers le Chili, tout juste tombé aux mains de Pinochet. Au travers des yeux de Jorge, nous découvrons un volet tragique de l'histoire de l'Amérique latine et, en suivant ses pas, nous traversons les paysages contrastés du Chili comme si nous y étions. Mais Cobre nous révèle aussi des réalités moins visibles, comme celle de laculture chamanique, et surtout, l'importance de la fraternité dans la luttepour la liberté. Les faits historiques et les anecdotes qui animent le récit sont rigoureusement réels, certains personnages ont existé.
-
Crime dans le port d'Anvers: les mafias chinoises et italiennes sont à la manoeuvre!
"Dans un restaurant du Trastevere, deux hommes d'affaires, un Italien et un Chinois échangent en anglais. Une scène somme toute anodine. Pourtant pas un mot n'échappe aux enquêteurs de la Guardia Finanza, planqués dans une camionnette banalisée. Leur cible ? Giancarlo Magnanini, avocat au barreau de Rome et... patron dans la Cosa Nostra. Son vis-à-vis ? Shi-Ming Wong, un ressortissant chinois de Canton. Soudain, l'Italien lâche : " Anvers, rendez-vous la semaine suivante... " L'information est aussitôt transmise aux policiers belges de l'Office de répression de la corruption. Deux préoccupations s'imposent : repérer la marchandise et découvrir qui est ce monsieur Wong. Commence alors une traque dans les milieux de la corruption qui gangrène le port d'Anvers. Pour la combattre : les techniques d'investigation les plus modernes et deux flics particulièrement motivés. Le roman plonge le lecteur dans le monde inquiétant et bien réel des organisations criminelles et violentes, dont les trafics de contrefaçons subtilisent chaque année à l'économie légale 350 milliards €. Il nous plonge aussi dans le fonctionnement secret des mafias italiennes et chinoises, leurs rites ancestraux d'initiation et de reconnaissance, leurs rouages et les moyens dont ils usent pour noyauter la société civile. " -
Après ses deux premiers romans, plébiscités par les lecteurs et les médias, Patricia Hespel récidive avec "La dernière maille" Rescapé d'une violente agression, Néo, 23 ans, sort du coma. Où trouver l'envie de continuer dans un corps qu'il ne reconnaît pas, sans passé ni souvenirs, sans proches pour se soucier de lui ? Pourtant, le docteur Catherine Milan n'est pas disposée à le laisser couler. Touché par l'affection de cette femme qui le porte à bout de bras, le jeune homme entreprend de se reconstruire à ses côtés. Bientôt, il découvre qu'elle aussi a ses absents. En même temps que son attachement à Catherine se renforce, l'intérêt de Néo pour le drame familial qui l'a meurtrie quelques années plus tôt tourne à l'obsession. Au fil de rencontres inattendues et de coïncidences troublantes, Néo commence à douter. Ce qu'il vit depuis son réveil découle-t-il de ses choix ou d'une pièce savamment orchestrée ? Quel marionnettiste le mène sur ce chemin, plus balisé qu'il ne croyait ? Pour démêler le sens de sa miraculeuse deuxième chance, il n'aura d'autre choix que de suivre le fil tendu par une main inconnue qui, d'étape en étape, le mènera à la stupéfiante révélation de son identité. Entre passé et présent, entre rédemption et acceptation, une quête de soi dont le tricot serré emporte le lecteur jusqu'à la dernière maille.
-
Le capitaine Alain Denoyer, de la Brigade des stups, pensait avoir affaire à un banal trafic de résine de cannabis
"Le capitaine Alain Denoyer, de la Brigade des stups, pensait avoir affaire à un banal trafic de résine de cannabis. Il se retrouve avec une affaire complexe mêlant trafic, blanchiment, corruption, prostitution, meurtres, règlements de comptes, imbroglios familiaux, etc. Du Rif à la banlieue parisienne, de Monaco à Genève en passant par Luxembourg, le capitaine Denoyer, son homologue marocain Ben Azzouz et le lieutenant Violaine Paquet, spécialiste de la lutte contre le blanchiment, vont patiemment traquer des suspects qui ne reculent devant rien pour protéger leurs intérêts. Commissions rogatoires internationales, planques, écoutes téléphoniques et analyses financières, sur fond d'intrigues amoureuses et de rebondissements inattendus, leur permettront finalement de détricoter un réseau puissant aux bénéfices colossaux. " -
" Tout le roman fonctionne parfaitement, grâce au talent et au style de l'auteur... " E. Borgers, Polarnoir
Alors qu'il est à la recherche de la fille d'un producteur de films X, Rubens, détective privé mélomane, tombe sur le cadavre d'un violoniste dont l'appartement a été mis à sac. Rubens alerte aussitôt la police, laquelle lui apprend peu après qu'on a retrouvé sous le cadavre une lettre porno signée par Jeanne Mansfield... une ancienne cliente de Rubens. Cette dernière est assassinée à son tour. En cherchant à élucider ces meurtres, Rubens se heurte à son propre passé et au souvenir douloureux d'une ex-compagne qu'il n'a plus revue depuis des mois. Où tout cela le mènera-t-il ? Dans ce roman policier, nerveux et efficace, se croisent, d'une façon inattendue et originale, le monde lumineux de la musique classique et l'univers glauque du film porno. -
" Un livre riche en retentissements intimes et qui maîtrise l'art difficile de la ligne claire et de la simplicité. " Ghislain Cotton, Le Vif/L'Express
Chétif et hypersensible, Alexandre, douze ans, séjourne en hiver chez sa tante Lucienne dans une vieille maison de Knokke-Le-Zoute, La Reculée. Alexandre a une passion secrète : trouver un trésor dans les dunes où il passe l'essentiel de son temps. Ô miracle ! le garçon trouve un jour... un revolver ! Muni de ce nouveau " trésor ", Alexandre, caché dans les dunes, prend peur devant la silhouette vociférante qui s'est dressée devant lui à la tombée du jour. Et son destin bascule... L'enquête va-t-elle mener jusqu'à lui ? Va-t-il être dénoncé par le docteur Vermote, le médecin de famille ? Quarante ans plus tard, au décès de tante Lucienne, Alexandre revient sur les lieux du... crime. Que découvrira-t-il ? -
Le maître du polar belge récidive avec un roman noir mêlant crime, passion et souffrance
Monica a 29 ans quand un camion percute la voiture familiale sur la route des vacances. Son mari et son fils sont tués sur le coup. Malgré l'affection de sa famille, er, en particulier, de sa tante Véronique, Monica sombre dans l'alcool.
Ne supportant plus ni son entourage ni sa maison, elle bourre une valise de vêtements et claque la porte en laissant les clés à l'intérieur.
Trois mois plus tard, elle dort à la rue. Mendier pour boire, éviter le SAMU social et les voleurs, s'endormir avant que le froid ne lui glace les os, deviennent les seules préoccupations de cette brillante professeur de français. Un jour de printemps, la police l'arrête. Sa tante Véronique, à qui elle a rendu visite à deux reprises, a été cambriolée et assassinée.
Les faits désignent Monica. Monica quitte la rue pour la prison. L'engrenage judiciaire se met en marche... -
Trafic de main d'oeuvre à Grace-Berleur !
1949. La radio retransmet le duel épique entre Coppi et Bartali sur le Giro. "Jour de fête" de Jacques Tati vient de sortir sur les écrans. Les bals musette font le plein. Alors, au milieu de ce bonheur tout juste retrouvé, comment expliquer la mort suspecte d'un chef syndicaliste ? Qui envoie des lettres de menaces à un homme d'affaires spécialisé dans le transport de travailleurs italiens ? Pourquoi son pigeon voyageur favori est-il empoisonné ? Et toutes ces affaires sont-elles liées ? Michel Van Loo, le célèbre détective bruxellois va mener l'enquête qui le conduira à Grâce-Berleur, petite ville de corons, noire de suie et de misère, et à Liège, encore marquée par les stigmates de la guerre. -
Une nouvelle enquête de Michel Van Loo, détective privé
Janvier 1958, l'Exposition universelle est à 99 jours de son inauguration. Sous la pluie hivernale, le plateau du Heysel n'est encore qu'un immense chantier de boue, de grues, de charpentes métalliques et de gaines qui courent en tous sens. Un homme est retrouvé mort. Il avait rendez-vous avec... Michel Van Loo ! Pour prouver son innocence à l'obtus commissaire Stengel, notre infatigable détective bruxellois accepte, bien malgré lui, le poste de secrétaire d'une commission chargée de surveiller le bon déroulement des travaux hydrauliques ! De cet excellent poste d'observation, Van Loo va suivre les pistes : le crime est-il un sévère avertissement à la Fabrique Massart & fils qui recrute à tout-va une main d'oeuvre étrangère ? La riposte d'un espion venu du froid, une affaire de Sécurité nationale ? Ou le meurtrier est-il parmi les savants de la commission Hydraulique, qui se livrent une course effrénée au progrès technologique ? -
" Un roman qui réussit à être à la fois une palpitante enquête, une comédie désopilante et une réflexion politique. " Jacques de Decker, Le Soir, le 8 février 2008
Bruxelles, 1947. Un jeune fonctionnaire aux Affaires étrangères, qui fut résistant pendant la guerre, disparaît brusquement. Sa famille fait appel un enquêteur débutant pour le retrouver, Michel Van Loo, lui-même ancien fonctionnaire, devenu détective privé à la Libération. Les temps sont agités en Belgique : règlements de compte entre anciens résistants et collaborateurs sur fond de guerre civile larvée entre les partisans de Léopold III et les antiroyalistes, pendant que les communistes de tous poils se déchirent entre eux, sûrs de prendre le pouvoir. C'est dans ce climat délétère qu'enquête Michel Van Loo, assisté d'Anne, la jolie coiffeuse, de Federico, un ancien partisan italien et d'Hubert, le pharmacien. -
" Chaque roman d'Alain Berenboom ouvre toutes les joies du jeu de l'esprit. Jouissif ! " Alain de Kuyssche, Le journal du mardi, le 3 mars 2009.
1948. Le détective Michel Van Loo est brutalement transplanté au Congo Belge. Cerné par des coloniaux qui se méfient d'un flic venu de la métropole, des indigènes travaillés par les premiers mouvements de libération et des espions soviétiques qui lorgnent l'uranium du Katanga, Michel Van Loo se sent bien seul. C'est compter sans le renfort inattendu de trois affreux nains. Avec l'aide d'une shampouineuse futée et d'une bande de pieds nickelés congolais, Van Loo va affronter le mystérieux roi du Congo - héros national ou agent communiste ?- dont l'ombre menaçante plane sur le Katanga. -
Avec Le Vent du boulet, Nathalie Stalmans poursuit sa narration de l'histoire de Bruxelles à travers le quotidien des habitants d'une maison aujourd'hui classée. Elle nous plonge dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, une période mouvementée à la charnière de deux mondes. "Bruxelles, 1796. La ville, rattachée à la jeune république de France, vit au rythme révolutionnaire. Y débarque un étranger. Il ne possède qu'une adresse, celle d'une maison de la rue Neuve. Sa mère y habite mais il ne la connaît pas. Est-ce Barbe la cuisinière, Élisabeth l'ancienne nonne ou Anastasie la bourgeoise ? L'histoire de ces trois femmes entraîne le lecteur dans le tourbillon d'autres destinées. Dans Bruxelles se côtoient de faux médecins et de vrais bouchers, des moniales superstitieuses et des servantes cupides, des fonctionnaires corrompus, des prostituées rêveuses, des élégants promeneurs de l'allée Verte, des scientifiques de génie, des soldats désabusés. Ils se raccrochent à l'immuable : l'humour, le genièvre et la pluie. Ils cherchent à s'adapter dans une société où toutes les valeurs viennent d'être redéfinies.
Nathalie Stalmans a étudié l'histoire et les langues anciennes à Bruxelles, Dublin et Oxford. Chercheur au Fonds National de la Recherche Scientifique, elle a défendu une thèse de doctorat centrée sur l'Irlande du haut Moyen Âge.
Ses romans prennent souvent pour cadre Bruxelles, où elle réside. Le dernier, Finis Terrae, a été nominé pour le Prix des Lycéens 2017.
" -
"Un polar subversif et plein de talent à l'humour permanent" - Claude Mesplède
Dans la Roumanie communiste, Andreï Mladin, journaliste, se réveille, après une soirée bien arrosée, allongé à côté d'un cadavre dans sa bibliothèque. Il doit trouver l'assassin s'il ne veut pas être accusé du meurtre et se retrouver dans les geôles de Ceausescu. Il décide de cacher le corps au sous-sol de son immeuble sans se faire remarquer bien sûr par Madame Margareta, préposée aux délations. Qui peut en vouloir à Andreï Madlin au point de lui coller un meurtre sur le dos ? Le journaliste plonge dans une enquête mêlant amour, argent et pouvoir. Une course contre la montre pour garder une longueur d'avance sur la police. Se déroulant dans les années quatre-vingts, ce polar à l'ironie mordante fait aussi la part belle à l'observation critique de la vie quotidienne de l'époque en Roumanie : coupures d'électricité, files d'attente devant les magasins, privilèges de la Nomenklatura... Il s'est vendu à plus de 300.000 exemplaires en Roumanie. -
Une fois encore Gérard Hubert-Richou nous donne à lire un vrai roman d'aventures avec une précision digne d'un véritable document historique. "À l'issue de la guerre de Trente Ans, la France a perdu la citadelle de Casal, verrou sur la route de Turin entre la France et l'Italie. Une perte dont le jeune Roi-Soleil hérite comme d'un caillou dans sa chaussure. L'intriguant affairiste comte Ercole Mattioli, secrétaire du duc de Mantoue (propriétaire de la forteresse de Casal), suggère secrètement à Louis XIV, via les ministres Pomponne et Louvois, de racheter la forteresse en utilisant un prête-nom. En réalité, l'habile escroc réalise la transaction pour son compte. Le roi de France est dupé.
Le fringuant commissaire Géraud Lebayle est alors chargé de retrouver Mattioli et de le ramener en France. Mais l'hiver approche et les difficultés vont s'enchaîner, d'autant que le sulfureux Italien est parvenu à arrêter un courrier du roi auquel il a subtilisé des documents cryptés ! La mission se révélera aussi ardue que rocambolesque. Une fois encore Gérard Hubert-Richou nous donne à lire un vrai roman d'aventures tout révélant des faits méconnus de l'Histoire de France.
" -
De Gaulle n'est pas un auteur de polar !
Le 29 mai 1968, le général de Gaulle s'est éclipsé chez le général Massu à Baden-Baden. Pendant que le chef de la France Libre et le grognard de la guerre d'Algérie se rappellent leurs fredaines de jeunes officiers, un crime a lieu. Un écrivain enquête. Entre deux amours et deux verres de vin blanc, parviendra-t-il à trouver la clé de l'énigme ? -
Le vertige, cette tentation effrayante de sauter dans le vide, prend Jean aux tripes. Comment sortir de ce sortilège ? Comment reprendre pied dans la vie ? En trouvant le meurtrier de sa fille...
Les oiseaux n'ont pas le vertige est un roman sur la culpabilité et le deuil. Jean Berthollet perd, à l'âge de 10 ans, son jumeau dans une course à vélos que Jean avait voulu à tout prix. Philippe est percuté par une voiture.
Adulte, Jean, devenu homme de théâtre, met en scène un célèbre boxeur basque, Urtain, qui fut finalement défait par Cassius Clay. Jean transmet sa passion pour ce boxeur hors norme à sa fille, Chloé. Cette dernière, sur la suggestion de son père, part avec son amoureux sur les pas de géant basque autour de Bilbao et les jeunes gens se font brutalement égorger... -
Dans le tout neuf " village Dorfmann ", Peter Warren, le détective privé franco-américain, est précipité, avec sa chère et tendre Sophia, dans les profondeurs insondables de l'âme humaine, où se tapit un chantage particulièrement ignoble.
" Soph et moi, nous nous installons pour un temps dans ce "village Dorfmann' proche du golf de Saint-Nom-La-Bretèche, dont l'une des maisons, toutes semblables, abrite la tignasse incendiaire de Bobby Carpentier, mon jeune partenaire au babyfoot. Le drame finit par frapper la chevelure flamboyante de ce fils bien-aimé, sur fond d'ascendance capillaire pa- et maternelle uniformément noire. Ce n'est jamais une sinécure de devoir plonger dans les profondeurs insondables de l'âme humaine. Sous l'emprise, qui plus est, d'un chantage particulièrement ignoble. " Peter Warren -
Dans le milieu ambigu des acteurs, le drame a frappé haut et fort en ce soir de première. Peter Warren, le détective privé franco-américain, est mal à l'aise dans ce monde où personne ne se montre jamais tel qu'il est... sans masque ni maquillage.
" Drôle d'enquête. D'autant plus difficile qu'elle advient dans ce milieu ambigu des acteurs, que je connaissais mal avant que Robert Martens, "Monsieur Théâtres', ne décide de m'y introduire. Un milieu où tout le monde, du débutant au premier d'affiche, joue plus ou moins la comédie en fonction des nécessités professionnelles et médiatiques. Tout plutôt que rater le rôle de leur vie ! Et le drame a frappé si haut, si fort en ce soir de première que l'intérêt passionné de Sophia envers ces magazines où le choc des mots, le choix des photos, va se révéler précieux. Un crime dans ce monde de carton-pâte où personne ne se montre jamais tel qu'il est... sans masque ni maquillage. " Peter Warren -
Peter Warren, le détective privé franco-américain, mène l'enquête dans les milieux littéraires de Saint-Germain-des-Prés.
" Pas net, ce type qui me tombe dessus à mon agence en criant qu'il n'a pas tué d'Aubrac avant de repartir, halluciné, comme s'il avait le feu aux fesses. Un dingue ? Un farceur ? J'ai le nez pour ce genre de truc, alors je remonte jusqu'au bonhomme qui gît le crâne fendu dans son luxueux cabinet de travail, auprès d'un manuscrit signé Jacques Horlaguerre. Je retrouve Horlaguerre chez lui en pleine tentative de suicide au gaz. Sa culpabilité ne fait aucun doute pour tous ceux qui ont intérêt à préserver l'image de Julien d'Aubrac, l'auteur de bestsellers, la star des émissions littéraires. Remontant à contre-courant de plagiat en plagiat, je trouve le véritable auteur du meurtre ... de l'auteur ! Au point de regretter de ne pas avoir connu d'Aubrac de son vivant, s'entend. J'aurais tant aimé lui casser la gueule. " Peter Warren -
Peter Warren, le détective privé franco-américain, enquête dans les vilains petits secrets d'une famille d'industriels.
" RF affiché au fronton d'une grille monumentale. Non, ce n'est pas "République française", mais "Renée Ferrand'. Des cristaux et porcelaines Renée Ferrand. Une dynastie dont la tête pensante et dirigeante, Renée Ferrand elle-même, me convoque ce jour-là pour me signaler que son petit chat est mort. Commun ? Pas tant que ça, car la pauvre bête, en lapant avant son maître, le bol de lait du petit-déjeuner, lui a tout bonnement sauvé la vie. Seul, un membre de la famille a pu tenter de l'empoisonner, et Renée Ferrand veut savoir lequel. Pas à pas, je m'initie aux arcanes de la famille ; je fourre mon nez dans toutes les magouilles ; je mets le doigt dans les vilains petits secrets ; je plante les pieds dans tous les plats... et ma grande carcasse sous les draps agréablement garnis - ô combien - de la blonde Évelyne, la nièce sexy, seule rose dans ce parterre de cactus et de mauvaises herbes. " Peter Warren