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francois ost
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Le droit comme vous ne l'auriez jamais imaginé.
Plongez dans l'imaginaire juridique avec le coffret exclusif "Contes de la Rue Soufflot" ! Un objet unique, rehaussé d'une magnifique illustration du Panthéon et orné d'une serrure, marqueur de chacun des trois ouvrages captivants que le coffret renferme.
Ouvrez les portes d'un monde où le droit croise le conte, avec "Si le droit m'était conté". Huit histoires fascinantes qui naviguent entre fable historique, science-fiction et réalités alternatives, interrogeant la norme et ses impacts à travers un prisme où fiction et réalité se disputent la vérité.
Explorez les méandres juridiques avec "Nouveaux contes juridiques". Huit récits qui défient la pensée, du procès de Jésus aux revirements d'un royaume fictif chamboulé par la pandémie. Ces contes taquinent votre esprit critique et revisitent l'essence du droit.
Découvrez enfin "Le Congrès et autres contes". Sept narrations qui secouent les fondations du droit, depuis le procès de Socrate jusqu'à un insolite congrès de philosophie. Ces histoires bousculent, éduquent et divertissent, vous invitant à remettre en question vos croyances établies.
Ce coffret est
une passerelle vers la réflexion juridique à travers le prisme de l'imaginaire. Idéal pour les juristes rêveurs, les étudiants en droit en quête d'inspiration, ou tout simplement les amateurs de belles histoires, "Les Contes de la Rue Soufflot" est plus qu'une oeuvre, c'est une expérience intellectuelle et sensorielle à s'offrir ou à offrir sans hésitation.
Saisissez la clef de la connaissance et ouvrez le verrou de l'imaginaire !
@conception et réalisation du coffret : Emmà Landi -
Le récit pour libérer l'imaginaire des juristes et débattre des questions de société
Il était une fois le droit...
Faire du droit en racontant des histoires, tel est le pari de ce livre qui exploite toutes les variétés du genre narratif : le conte historique, le récit autobiographique aux accents de réalisme magique, la campus novel satirique, la chronique judiciaire engagée, la fable poétique.
Sept récits qui font réfléchir au droit en bousculant ses codes.
Les deux premiers textes rouvrent le procès de Socrate : Athènes le condamne en 399 avant J.-C., la Fondation Onassis l'acquitte en 2012 -; qui a raison ? Et qu'aurait pensé Socrate lui-même de cette démocratie bien-pensante qui le réhabilite ?
Le troisième texte donne son titre à l'ouvrage. Il raconte un congrès international de philosophie du droit qui accumule tous les travers du politiquement correct ; jusqu'au moment où Mariem, une jeune chercheuse mauritanienne, brouille les cartes et s'invite dans l'atelier legal stories.
Qu'aurait pensé le Petit prince s'il avait débarqué chez nous lors du confinement entraîné par l'épisode " Covid " ? Sans doute se serait-il étonné de toutes les tautologies (Il faut ce qu'il faut, À la guerre comme à la guerre, etc.) que nous formulions à l'époque pour ne pas nous interroger trop avant...
Est-il légitime d'échanger un humanitaire belge, détenu arbitrairement en Iran, contre un dangereux terroriste iranien condamné à 20 ans de prison en Belgique ? La Cour constitutionnelle est invitée à répondre à cette question qui mobilise le pays entier. Justine (juge imaginaire) vit de l'intérieur ce procès bien réel qui a défrayé la chronique au printemps 2023.
Pour son dernier cours, un professeur de philosophie du droit décide de raconter le récit d'un professeur qui fait son dernier cours... Cette mise en abyme lui assurera-t-elle une manière de survie ?
Le même professeur fait passer son dernier examen. Au moment où la somnolence le guette, une étudiante, rompant tous les codes, parvient à le surprendre -; et si tout recommençait ? -
Ce livre est une tentative d'approcher le concept de « désobéissance civile » dans une perspective juridique « scientifique ». De ce fait, son originalité est double. D'une part, il se veut principalement explicatif : son objectif n'est pas de justifier (ou non) la désobéissance civile en fonction de son essence et de son rôle en société, mais plutôt de l'analyser - en tant que concept - à partir d'une conception « postmoderne » de l'obéissance au droit dans la pensée juridique contemporaine. D'autre part, il se veut novateur en théorie du droit : il invite les juristes à recourir à une méthode littéraire afin de formuler un discours réflexif sur le droit. Ainsi mobilisée, la connaissance juridique offre une perspective différente sur des problématiques centrales à toute société démocratique, comme le devoir d'obéissance au droit, mais surtout, la possibilité d'y désobéir.
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Une nouvelle façon de dire le droit.
Faire du droit en racontant des histoires, tel est le pari de ce livre qui exploite toutes les variétés du genre narratif, depuis le récit historique jusqu'au conte fantastique, en passant par le thriller policier, la dystopie et la fable animalière.
Des fables modernes, amusantes et pédagogiques qui ressuscitent la tradition des contes philosophiques du XVIIIe siècle, et permettront aux praticiens du droit aussi bien qu'aux néophytes d'analyser les grands jeux juridiques contemporains.
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Faire du droit en racontant des histoires, tel est le pari de ce livre qui exploite toutes les variétés du conte juridique : la fable historique et la fiction animalière, le récit de science fiction et le reportage réaliste, la spéculation onirique et la nouvelle fantastique, le conte philosophique, la dystopie, et même la fantaisie théologique.
Huit récits qui font réfléchir à la norme en posant d'étranges questions.
Faut-il du droit dans l'arche de Noé ?
Que révèlent les procès d'animaux que l'Occident a instruits jusqu'à la Révolution française ?
Tuer son propre clone, de surcroît équipé d'une intelligence artificielle, est-ce un meurtre ou la destruction d'une entité non humaine ?
A quoi sert le droit ? Le récit du naufrage de l'Amoco Cadiz donne une réponse crue et contrastée à cette question.
Se pourrait-il que, parfois, la réalité dépasse la fiction ? La dénaturation du droit dans une grande démocratie contemporaine le donne à penser. Une dystopie prend forme quand, fasciné par son président Selfidor et sa devise Jamais deux sans moi, le peuple en vient à oublier le droit.
Quel livre tout juriste devrait-il emporter avec lui sur une île déserte ? Et si c'étaient les îles elles-mêmes qui parlaient de justice ?
Où conduisent les passages dérobés que recèle le majestueux Palais de justice ? Et de quelle justice nous parlent ses doubles-fonds ?
Le jugement dernier présente-t-il les garanties élémentaires du procès équitable ? L'avocat pro deo et l'avocat du diable en débattent.
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De la pyramide au réseau ? pour une théorie dialectique du droit
François Ost, Michel Van de kerchove
- Presses Universitaires de Saint Louis
- 24 Mai 2022
- 9782802801948
Les grandes théories du droit qui continuent, aujourd'hui encore, à déterminer les représentations des juristes ont été conçues avant que s'imposent la construction de l'Europe et la mondialisation du droit, la montée en puissance des juges et le culte des droits de l'homme, l'apparition de puissants pouvoirs privés et le déclin de la capacité d'action des Etats, l'émergence de la société de l'information et les poussées de l'individualisme.
Cet ouvrage entend remettre en chantier cette théorie générale du droit en intégrant ces différents phénomènes qui ont profondément ébranlé son paradigme fondateur linéaire, hiérarchique, pyramidal. Une première partie s'attache à étudier les "bougés de la pyramide" : un nouvel agencement des sources juridiques qui fait apparaître un mode de production du droit en réseau, un Etat désormais en quête de rôle, des systèmes juridiques de plus en plus imbriqués, des sanctions aux frontières incertaines.
Un paradigme nouveau ? celui d'un droit en réseau (lié aux idées de régulation et de gouvernance)?se dégagerait-il de ces transformations ? La seconde partie de l'ouvrage s'attache à évaluer la pertinence de cette hypothèse. L'examen de cinq questions essentielles ? de la définition du droit aux problèmes éthiques qu'il soulève, en passant par le raisonnement des juristes, la validation des normes et des systèmes, et la connaissance du droit ? permet de conclure, de façon dialectique, à une hybridation des modèles plutôt qu'à un véritable changement de paradigme.
L'observation attentive des transformations récentes du droit positif, éclairée par certains des développements les plus actuels des sciences sociales, appuie cette analyse qui s'adresse à tous ceux qui s'interrogent sur le rôle que joue le droit dans la société contemporaine. -
Raconter la loi - aux sources de l'imaginaire juridique
François Ost
- ODILE JACOB
- 15 Janvier 2004
- 9782738113719
Qu'est-ce que les mythes et les grands archétypes de la littérature universelle nous enseignent sur l'origine et le destin du droit ? La donation de la loi du Sinaï, l'invention de la justice chez Eschyle, la révolte de conscience d'Antigone, la souveraineté de l'individu pour Robinson Crusoé, les paradoxes de la liberté chez Faust, la déchéance de la loi avec Kafka : telles sont les étapes majeures d'un parcours narratif aux sources d'un imaginaire juridique trop souvent méconnu.
Entre le " tout est possible " du récit et le " tu ne dois pas " de la loi, l'institution du social ne cesse de s'inventer des formes inédites. Au rebours d'une vision formaliste ou moraliste du juridique, ce livre poursuit une grande ambition : replonger le droit dans la fiction littéraire pour lui permettre de renouer avec ses racines.
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Abécédaire d'une pandémie : ce que le covid révèle de notre société
François Ost
- Anthemis
- 11 Janvier 2022
- 9782807208407
Phénomène planétaire, l'épidémie de Covid-19 peut être considérée comme un « fait social total » : un phénomène qui affecte tous les aspects de la vie sociale et individuelle. À l'heure où il est urgent de penser la société d'« après Covid », il faudrait mobiliser toutes les disciplines du savoir humain pour en éclairer les différentes facettes - ce dont atteste d'ailleurs l'inflation des publications qui lui sont désormais consacrées. Dans ces conditions, c'est faire oeuvre de modestie que de se mettre au travail en recueillant, sous la forme nécessairement sommaire d'un abécédaire, certains des termes balisant les aspects les plus essentiels du « fait social total ».
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Il est d'usage de parler de la langue de Shakespeare. Cet ouvrage démontre qu'on pourrait tout aussi bien parler du droit de Shakespeare. Poète national qui forge le roman politique et juridique de la nation anglaise au tournant de la Renaissance, Shakespeare est l'archétype de ces « législateurs cachés » dont parle Shelley. Souvent cité aujourd'hui encore par la Cour suprême des États-Unis, Shakespeare traite quelques-unes des questions juridiques les plus fondamentales : entre l'esprit et la lettre de la loi, équité et formalisme juridique, que choisir ? De quelle légitimité les princes peuvent-ils se prévaloir ? Entre le vrai, le faux et le vraisemblable, où passe la vérité légale ? Les lois pénales sont-elles faites pour être appliquées ? Entre vengeance et pardon, comment équilibrer la balance de la justice ? Ces questions, Shakespeare ne les traite pas à la manière d'un manuel de droit ; il les performe par la grâce du théâtre. Ses pièces sont des laboratoires des passions juridiques ; le faux est traqué derrière les apparences, et l'injuste dénoncé sous le légal. Réalisant un parcours buissonnier dans une oeuvre monumentale, cet ouvrage s'attarde sur six chefs d'oeuvre dont l'éclairage juridique révèle des dimensions insoupçonnées : Le Marchand de Venise, Mesure pour mesure, Richard II, Jules César, Hamlet, et Le Roi Lear. Dans le cercle magique du théâtre du Globe, c'est l'humanité entière qui est convoquée ; et dans le creuset bouillonnant du théâtre élisabéthain se joue une formidable Comédie de la Loi qui accouche de notre modernité. Contribution essentielle au courant « droit et littérature », cet ouvrage, le premier en langue française à aborder Shakespeare sous l'angle du droit, pourrait bien également renouveler durablement les études shakespeariennes.
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Qu'est-ce qui change quand on passe au droit, ou, à l'inverse, quand on se passe de droit ?
Ce livre entend répondre à une question à la fois simple et fondamentale : qu'est-ce qui change quand on passe au droit, ou, à l'inverse, quand on se passe de droit ? Que gagne-t-on ? Que perd-t-on ? Que signifie l'entrée dans une relation - plus largement, une société - juridique ?
Ce qui change quand on passe au droit, c'est que, désormais, la relation sociale primaire (affective, économique, politique) s'inscrit sous l'égide du tiers institué. Le tiers : à la fois une autorité en position de « troisième personne » (juge, législateur), mais aussi une fonction tierce intériorisée par les individus devenus sujets de droit. Le social s'élève alors à la « puissance trois », celle qui noue le lien, tout en assurant l'autonomie des individus.
Faire émerger et garantir un monde social en trois dimensions, indexé sur la référence structurale au tiers, telle serait en définitive la fonction propre du droit, l'inestimable plus-value qu'il peut apporter à la vie sociale chaque fois qu'il parvient à s'arracher à la violence de l'unicité.
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Le COVID-19 : quels défis pour les États et l'Union européenne
Collectif
- Bruylant
- Pratique Du Droit Européen
- 7 Avril 2022
- 9782802771135
En luttant contre la pandémie du Covid-19 depuis plus de deux ans, les États membres de l'Union européenne et l'Union elle-même ont offert un puissant révélateur de leurs forces et de leurs faiblesses structurelles. Prenant pleinement en considération l'imbrication des compétences étatiques et européennes, le présent essai livre une analyse à la fois synthétique et nuancée de ces atouts et de ces déficiences. À partir d'une réflexion sur ce que les droits humains et la souveraineté signifient aujourd'hui, respectivement pour les États et pour l'Union, face aux défis des insécurités non seulement sanitaires, mais aussi géopolitiques, environnementales et économiques, il avance aussi quelques pistes concrètes pour renforcer l'intégration européenne sans méconnaître la résilience des nations qui en demeurent les piliers.
Puisant dans les ressources du droit public et de la théorie générale de l'État, cet ouvrage s'adresse tant aux citoyens européens non spécialistes qu'aux juristes et aux politistes.
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À quoi sert le droit ? usages, fonctions, finalités
François Ost
- Bruylant
- Penser Le Droit
- 18 Juillet 2016
- 9782802755517
La concurrence des normativités dans un monde globalisé laisse entrevoir le scénario d'une société post juridique. Progrès, utopie, cauchemar ? Que serait une société sans droit ? Une enquête serrée sur les fonctions, usages et finalités du droit en 2016.
La concurrence des normativités dans un monde globalisé laisse entrevoir le scénario d'une société post juridique. Progrès, utopie, cauchemar ? Que serait une société sans droit ? Une enquête serrée sur les fonctions, usages et finalités du droit en 2016. -
Dire le droit, faire justice (2e édition)
François Ost
- Bruylant
- Penser Le Droit
- 9 Novembre 2012
- 9782802738497
Une analyse de la fonction du juge, sous les angles technique, philosophique, critique et littéraire.
Nos démocraties sont désormais "juridictionnelles" ou " contentieuses". Le visage de la justice se transforme en profondeur. L'ouvrage tente de redéfinir la fonction sociale du juge, sa place dans l'État, le raisonnement qu'il met en oeuvre, sa déontologie -
La Furetière ; la démocratisation de la langue
François Ost
- Michalon
- Le Bien Commun
- 19 Juin 2008
- 9782841864584
Juriste de formation, abbé de son état, lexicographe par passion, Antoine Furetière, l'un des Quarante de l'Académie française, en fut honteusement expulsé en 1685 pour avoir outrepassé le monopole royal dont bénéficiait l'Académie en matière de dictionnaire. En 1690, il publia son Dictionnaire universel, dont la modernité lui valut un succès immédiat. L'enjeu de cette « querelle des dictionnaires » n'est pas mince : le choix entre la méthode puriste de l'Académie qui vise à fixer un état aristocratique de la langue, à l'image de l'ordre versaillais, l'épurant de tout néologisme, et l'approche critique et savante de Furetière qui rappelle que la langue appartient à tous, qu'elle s'enrichit avec le temps, et que la fixer c'est l'étouffer. Son combat pour le libre parcours de la langue et donc des idées reste plus que jamais d'actualité, à l'heure où menace la privatisation des informations et des connaissances.