Dominique Aubier
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Contes de verte foi
Dominique Aubier
- FeniXX réédition numérique (Bateau ivre)
- Nouvelles
- 12 Juin 2020
- 9782307088622
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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La nourriture du feu
Dominique Aubier
- FeniXX réédition numérique (Éditions du Seuil)
- 12 Décembre 2018
- 9782402301312
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Vive ce qu'on raconte !
Dominique Aubier
- FeniXX réédition numérique (Aux Éditions du Seuil)
- 19 Novembre 2018
- 9782402285827
Une auto luxueuse s'arrête devant la maison de vacances de la narratrice qui croit reconnaître dans ses occupants le célèbre matador Miguel Ruiz et une jeune beauté de la Côte d'Azur. Par suite d'une fausse manoeuvre, l'auto se renverse sur la plage, écrasant sous son poids les deux voyageurs. Voilà le thème de ce récit vif et poignant dans lequel, peu à peu, l'auteur joue un rôle majeur, celui de témoin de l'accident et du malheur qui le suit et celui de romancière aux prises avec son imagination et son métier d'écrivain. Le lecteur lui-même n'est pas laissé de côté. Ses goûts, sa curiosité, son émotion participent à cette histoire et lui donnent sa vraie signification. Il ne reste pas à l'écart du mystère non seulement de la vie des personnages mais aussi de leur naissance. Nous comprenons que lire c'est aussi créer. Et maintenant, à vous Dominique Aubier ! "Il était plus de sept heures..."
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Le détour des choses
Dominique Aubier
- FeniXX réédition numérique (Éditions du Seuil)
- 12 Décembre 2018
- 9782402307406
Une femme, près du pont d'Aricia, "le pont le plus haut d'Italie", sa voiture abandonnée, ceux qui parlent d'elle comme si elle s'était jetée de ce pont... En tout cas elle a disparu. Elle a écrit trois lettres, à son mari, à une hindoue, à un kabbaliste, Orazio. A-t-elle écrit aussi à Salvatore Salvattini, le célèbre metteur en scène de cinéma ? Peu importe. Qui est cette étrange Sara Sanroy, d'un effrayant courage, qui a toujours le mot cinglant, et, prompte à la parole, refait les êtres qui parlent d'elle comme s'ils sortaient de sa bouche ? Ce qu'elle dit, ce qu'elle invente, l'enfance de Salvattini et son faux suicide, une course de taureaux à Pampelune, ces bouffées de jalousie qu'elle ne peut réprimer et qui la font prendre pour une folle à Paris, ces marches dans Rome, la nuit, qu'elle multiplie, ces lectures acharnées de l'hébreu : tout ici est plus incantation que roman. Sara Sanroy ne sait pas à qui elle parle et qui parle d'elle : elle voit et elle proclame. Ainsi, femme malheureuse, femme mal-aimée, domine-t-elle sa vie et celle des autres. Ainsi, surtout, donne-t-elle au lecteur non pas le pouvoir de lire mais celui de parler, et comme elle.