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Paul Feval
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" Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi "À l'aube du siècle des Lumières, c'est dans l'ombre que le prince Philippe de Gonzague fomente l'assassinat de son cousin, le duc de Nevers, dont il espère accaparer la femme et la fortune. Une épée vient contrarier ses plans, celle du chevalier de Lagardère. S'il ne parvient pas à empêcher l'assassinat de Nevers, il sauve sa fille, Aurore, et promet de venger le duc et de faire triompher la justice.
Dans le Paris de la Régence, aux ruelles menaçantes et à la Cour corrompue, apparait alors un mystérieux bossu...
Au-delà d'un majestueux roman de cape et d'épée, Paul Féval livre dans
Le Bossu une délicieuse satire de la Régence et de la noblesse et offre, à travers le personnage de Lagardère, l'une des figures les plus populaires de la littérature française. -
La femme blanche des marais : L'intégrale des contes de Bretagne
Paul Féval
- Archipoche
- 12 Juin 2025
- 9791039206389
Les Contes de Bretagne de Paul Féval, parus en 1844, font la part belle au folklore, aux saintes, aux naufrageurs et aux fantômes caractéristiques des légendes bretonnes, qu'il prétend avoir entendues de la bouche d'un vagabond nommé Job-Misère. Ils sont ici pour la première fois suivis des Contes de nos pères (1845), qui font notamment revivre le temps de la Chouannerie.
Tous les contes bretons de Paul Féval rassemblés en un volume Harcelée par les huguenots de Guy de Plélan qui, vivant de rapines, ont mis le siège au château de son mari, Marguerite de Malestroit a dû s'enfuir pour se réfugier au manoir de Gourlâ. La cachette pourra-t-elle rester longtemps secrète ?
Car Plélan, toujours prêt au mal, a promis un plein bonnet d'écus à quiconque la découvrira. Et ce qui devait arriver se produit : Marguerite et ses compagnons sont trahis par un vilain. Mais la " Femme blanche ", ce spectre qui rôde sur les marais de l'Oust, pourrait bien déjouer les sinistres desseins de Plélan et l'attirer dans un piège...
Les Contes de Bretagne, parus en 1844, sont l'oeuvre d'un auteur de vingt-huit ans qui assure les avoir entendus conter à la veillée par un certain Job-Misère, vagabond qui payait ainsi son gîte et son couvert dans les granges du pays de Redon.
Imprégnés de folklore, peuplés de saints, de démons, de chevaliers, de naufragés et de fantômes, ces récits à glacer le sang ou à soulever l'âme sont magnifiés par le génie d'un conteur qui n'a jamais oublié son " pays de bravoure ".
Ils sont suivis, dans cette première édition intégrale, des
Contes de nos pères (1845), qui font notamment revivre l'univers de la Chouannerie. Tous reproduisent les illustrations originales d'Horace Castelli et Charles-Albert Bertall.
Ce volume contient :
Le Joli Château.
Anne des îles.
La Femme blanche des marais.
Le Petit Gars.
Le Val-aux-Fées.
Force et faiblesse.
La Mort de César.
Jouvente de la Tour.
Le Médecin bleu. -
Ce roman de la vengeance est un roman du crime et de la machination, thèmes privilégiés de Paul Féval qui feront de lui à plus d'un titre l'un des grands maîtres du roman policier. Rien ne sert d'en dire plus... Stanley Kubrick en son temps disait qu'une oeuvre se devait de rester mystérieuse pour laisser à chacun une liberté d'interprétation et de jugement, et il répugnait donc pour sa part à parler de ses films. 170 ans après l'écriture de ce livre, cette remarque n'a jamais été aussi bien adaptée.
Format professionnel électronique © Ink Book édition. -
Au tout début du XIXe siècle, le comte Mario de Monteleone, cousin de Ferdinand, roi de Naples, mène en secret le combat contre les Français. En secret : tout est là. Les conjurés n'ont pas d'armes, mais ils possèdent le sentiment de leur bon droit et savent pouvoir compter sur l'allié le plus sûr : le silence.
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En 1804, à Paris, il se passe des faits étranges quai de la Tournelle. Personne n'y a vu de poissons aussi gros et gras. Un pêcheur prend même un énorme brochet qui cache dans ses entrailles un doigt humain portant une baguette de grande valeur. Trois jeunes et riches étudiants allemands disparaissent mystérieusement. Une comtesse hongroise se marie plusieurs fois dans diverses églises. René de Kervoz, jeune étudiant en droit, neveu du célèbre Cadoudal, délaisse sa fiancée pour suivre une belle inconnue blonde. La capitale bruit de mille rumeurs, les complots se multiplient et tout un chacun se demande qui est cette « Vampire » que l'on rend responsable de tout. Est-ce une femme ou deux ? Une bande de conspirateurs ou de brigands ? Ou tout simplement l'allégorie de la ville elle-même ?
Dans ce roman fantastique sur fond historique, le lecteur y croisera Bonaparte au moment où il n'est pas encore empereur et où il échappe à la mort lors de l'attentat à la machine infernale de la rue Saint Nicaise. Il suivra également Georges Cadoudal, le chouan qui vient défier Bonaparte jusqu'à Paris et qui finira tragiquement. Sur cette trame historique bien réelle, Paul Féval, le romancier du célèbre « Bossu », brode une sombre histoire de vampire en s'inspirant de la terrible légende du comte Szandor.
Format professionnel électronique © Ink Book édition. -
Et si Ann Radcliffe, célèbre pour ses romans gothiques, avait elle-même été la protagoniste d'une aventure pleine de danger ?
C'est ce qu'elle a raconté au grand feuilletonniste français Paul Féval, qui rapporte le récit de la lutte de la jeune femme contre l'atroce M. Gtzi, le vampire aux yeux verts luminescents, et sa découverte de toute une terrifiante cité : la ville-vampire !
Un roman drôle et enlevé qui appartient à la veine fantastique de Paul Féval (1816-1887), célèbre pour avoir écrit une des oeuvres les plus abondantes et les plus échevelées du XIXe siècle (Le Bossu, Les Mystères de Londres, Les Couteaux d'or, Les Habits noirs).
Un roman précurseur, qui influença la fiction vampirique, notamment Tanith Lee et Poppy Z. Brite, et ose pour la première fois mêler figures réelles et figures mythiques, avec un bon brin d'humour. -
Paul Féval mène, sur un rythme endiablé, une histoire extravagante où les morts se comptent par centaines (une moyenne de soixante-treize assassinats par chapitre,!). Outre les crimes, assassinats, meurtres les plus divers et variés, l'auteur accumule les situations et dialogues convenus que l'on trouve dans les mauvais romans du genre littéraire où il oeuvre. Il se livre à un véritable pastiche, allant jusqu'à la caricature, voire l'autodérision en employant à foison toutes les ficelles de son métier pour faire naître la peur, l'angoisse, le fantastique, créer et maintenir le suspense.
Format professionnel © Ink Book édition. -
Mené à vive allure avec tous les rebondissements propres au feuilleton et portant à la fois l'empreinte des romans noirs et des romans d'intrigues, Le Chevalier Ténèbre conte les aventures de deux êtres énigmatiques, les frères Ténèbre, séducteurs et voleurs, qui, partis de leur Hongrie natale, traversent toute l'Europe, usant de mille et un travestissements et de masques de toute sorte, pour se livrer à leurs méfaits et ruiner des familles entières...
Format professionnel © Ink Book édition. -
Paul Féval (1816-1887) "Ceux qui ont voyagé par les sentiers étroits, mêlés, croisés, qui se coupent, qui se bifurquent, qui se replient sur les landes du pays de Redon, comme le volumineux et bizarre paraphe d'un garde-notes de l'ancien régime, ont pu rencontrer parfois le vieux Jobin de Guer, que les bonnes gens de l'Ille-et-Vilaine appellent indifféremment Job-Misère ou Job le Rôdeur. Jobin est pauvre. Il ne possède en ce bas monde qu'une vieille gibecière de filet qui lui sert de besace, une médaille d'étain, portant gravées les armes de M. le marquis de la ***, et un grand bâton jaune. Il n'a point de parents pour soutenir ses vieux jours, point de gîte où reposer sa tête grise. Sa vie est celle du Juif-Errant. Il marche, il marche toujours, ne couchant jamais deux nuits de suite sous le même toit ; partant dès le matin et ne s'arrêtant que lorsque le soleil s'est caché derrière l'horizon. - Mais il n'a pas toujours dans sa poche les cinq sous de la légende, et, au contraire du cordonnier Isaac, il est bon chrétien autant que pas un. La première fois que nous le rencontrâmes, c'était dans la vaste lande de Renuc, le soleil couchant ne montrait plus que la moitié de son disque derrière les rouges bruyères du bourg de Bains. Jobin de Guer marchait devant nous à une centaine de pas de distance. Les rayons du soleil, obliques et presque parallèles au plan de la lande, envoyaient son ombre jusqu'à nous. Il allait, arpentant le chemin d'un pas grave et ferme encore. Les profils de sa grande taille que le couchant dessinait en lignes brillamment empourprées, atteignaient, grâce à ce jeu de lumière des proportions presque fantastiques. Nous étions jeune ; la main d'un ami nous attendait, ouverte, au bout du voyage ; nous rejoignîmes bientôt le pauvre Job, qui était bien vieux, lui, et qui, de quelque côté que se tournât sa course, n'espérait plus toucher, le soir venu, la main d'un frère." Job-Misère paie son gîte et son couvert en contant des histoires, le soir, au coin du feu. En voici trois entendues par Paul Féval : trois histoires bretonnes dans lesquelles planent le mystère, la trahison, la fidélité et bien sûr... l'âme bretonne. "Le joli château" - Anne des Iles" - "La femme blanche des marais"
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La Bretagne mystérieuse, ses forêts enchantées et ses nombreux secrets. C'est au coeur de ces mystères que Joson Férou, paysan débonnaire, va raconter ses histoires aux oreilles qui voudront bien être attentives. Il y sera alors question de fées malfaisantes, d'êtres cupides, mais aussi de chevaliers partis pour les croisades, de princesses qui attendent leur retour, et de trésor caché. La lutte du bien et du mal. Qui l'emportera ? -
Comme une légende ancienne : 3 homme rouges... Puis le château de Bluthaup en Allemagne. Enfin « Le fils du diable » ; mêlé à une affaire d'héritage et de pouvoir...
Un grand roman-feuilleton dans les traditions du romantisme noir. Avec « Le fils du Diable », chef d'oeuvre du genre par excellence, Paul Féval devient avec Gaston Leroux, Maurice Leblanc ou Alexandre Dumas, l'une des figures centrales de la littérature populaire.
Table des matières : Prologue. Les Trois Hommes Rouges (ch.1-11) ; Introduction (ch.1-2) ; 1 partie. (ch. 1-13) ; 2 partie. La Rotonde du Temple; (ch. 1-15) ; 3 partie. La Maison de Geldbert (ch. 1-13) ; 4 partie. Le Cabaret des Fils Aymon (ch.1-20) ; 5 partie. Le Mystère de la Trinité (ch. 1-16); 6 partie. Les Batards de Bluthaupt (ch. 1-16); 7 partie. Le Baron de Rodach (ch. 1-19). Epilogue. Maître Blasius.
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Vincent Carpentier, architecte et maçon, avait construit pour le colonel Bozzo-Corona, ancien chef des Habits Noirs, une cache secrète. Ce qu'il y a à l'intérieur est pour Vincent un mystère dont il ne s'est jamais soucié. Près de six ans se sont écoulés depuis la construction. Nous sommes en 1841, et maintenant que le colonel a la barbe bien blanche, naît dans l'esprit de Vincent un nouvelle obsession. Et si la cache contenait un fabuleux trésor? Malheureusement pour lui, il n'est pas le seul à vouloir le récupérer... Le jeune peintre Reynier découvre qu'il est l'héritier du colonel Bozzo, et il est prêt à assassiner pour parvenir à ses fins...
Paru en feuilleton en 1870, «Les Compagnons du Trésor» est le septième tome des «Habits Noirs».
Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration - séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu'il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d'épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865). -
La fabrique de crime
Paul Féval
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La nuit s'annonce agitée. Deux mystérieuses bandes s'opposent. Le docteur Fandango, aussi nommé Le fils de la Condamnée, dont les origines sont aussi lointaines que compliquées, dirige le premier groupe. La belle Mandina de Hachecor, le cocher Mustapha issu de l'aristocratie, Silvio Pellico et leurs amis sont fidèles à Fandango. Leurs adversaires appartiennent à la sinistre bande du Duc de Rudelame-Carthagène. Plusieurs décennies plus tôt, ce vieillard s'exila à Londres. C'est là que sa carrière criminelle prit son essor ; là qu'il affronta pour la première fois le docteur Fandango.
Roman de 173 000 caractères.
PoliceMania, une collection de Culture Commune.
Retrouvez l'ensemble de nos collections sur http://www.culturecommune.com/ -
Les Errants de la nuit
Paul Féval
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Antoine Legagneur, officier de l'armée, fait accuser le maréchal des logis Hector. Ce dernier sera bientôt fusillé. Le but est de faire disparaître l'héritier d'une très grosse fortune qui reviendra à Honorine de Blamont, Antoine ayant réussi à obtenir que cette dernière l'épouse. Le fabuleux trésor de l'abbaye d'Orval détruite lors de la révolution française est caché avec la fortune précitée. Le dernier abbé de l'abbaye vient de mourir, mais il a eu le temps de donner des indications à Jean Guern, ami de la famille d'Hector. Hector s'en sortira-t-il ?
Roman de 567 000 caractères.
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La Bande Cadet, dont l'action centrale se déroule en 1853, conjugue à la recherche du fameux trésor une nouvelle entreprise des Habits noirs contre la succession de Clare et des substitutions d'identité compliquées que le dénouement seul débrouillera...
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Dans les Compagnons du trésor se trouve entrelacée à la recherche frénétique du trésor des Habits noirs, caché jalousement par le colonel Bozzo, la sanglante loi de succession de la famille Bozzo, dont l'ancêtre est Fra Diavolo : le fils doit tuer le père pour lui succéder, à moins que le père ne tue le fils. L'architecte Vincent Carpentier, qui a construit la cache du trésor pour le colonel Bozzo, est poursuivi par l'idée fixe de la retrouver. Son fils adoptif, le jeune peintre Reynier, découvre par hasard qu'il est le petit-fils du colonel Bozzo...
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Ce sixième opus nous plonge plus avant dans ce monde du cirque dont Féval a fait l'un de ses univers de prédilection. Saladin, le «fils» d'Echalot et de Similor a grandi au sein du cirque de Mme Samayoux. Héritant de la mauvaise nature de son père, il est devenu une crapule. En 1852, il enlève une petite fille, Justine, et la confie à Maman Léo et à Echalot, maintenant en ménage, en prétendant l'avoir trouvée. La mère de l'enfant, Lily, une jeune et belle fille du peuple que son amant avait abandonnée, désespérée de n'avoir pu retrouver sa fille, épouse le richissime duc de Chaves, dans l'idée de mener par la suite, grâce à sa fortune, les recherches nécessaires...
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«Maman Léo» est centré autour de la lutte que mène le jeune magistrat Rémy d'Arx contre les Habits noirs. Mais pour combattre Rémy d'Arx, le colonel utilise «l'arme invisible», une arme psychologique : il le rend amoureux fou de la jeune Fleurette, enfant à l'origine inconnue qui fut recueillie par des saltimbanques que mène la sentimentale et géante dompteuse de fauves : Léocadie Samayoux, dite Maman Léo...
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Ce roman, et sa suite, «Maman Léo» est centré autour de la lutte que mène le jeune magistrat Rémy d'Arx contre les Habits noirs, ceux-ci directement dirigés par le colonel Bozzo. Pour combattre Rémy d'Arx, le colonel utilise «l'arme invisible», une arme psychologique : il le rend amoureux fou de la jeune Fleurette, enfant à l'origine inconnue, recueillie par des saltimbanques, que mène la sentimentale géante dompteuse de fauves, Léocadie Samayoux, dite... Maman Léo...
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Ce troisième volet met en scène les tentatives criminelles des Habits Noirs (que couvre Lecoq, alors devenu chef de la Sûreté) contre la famille de Champmas, et contre la richissime mais avare paysanne Mathurine Goret. L'appât, dans les deux cas, est le «faux Louis XVII», rôle rempli parmi les Habits noirs par plusieurs personnages successifs. Celui-ci, qu'on appelle aussi M. Nicolas, séduit d'abord Ysole de Champmas, fille bâtarde du général de Champmas, et se sert de sa complicité inconsciente pour tenter de tuer sa soeur légitime, Suavita...
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Ce cycle de huit romans, publiés de 1863 à 1875, est à rapprocher de la série des Rocambole de Ponson du Terrail, qui connaissait un grand succès depuis 1857.
Les «Habits noirs» est le signe de l'appartenance aux classes «élevées» de la société et en même temps le surnom donné à une bande criminelle réelle qui agissait à Paris dans les années 1830, et qui fut jugée lors d'un procès à sensation en 1845. Ce surnom, les membres de la bande l'avaient acquis en raison de leurs manières raffinées et de l'apparence de respectabilité qu'ils avaient endossée. Ainsi est doublement mise en avant par Féval l'hypocrisie sociale, l'éternelle comédie grinçante d'une société pervertie par l'absence de valeurs, où le crime règne sous le masque même de la loi et de l'ordre, les rongeant ainsi de l'intérieur.
La bande criminelle les «Habits Noirs», dirigée par Lecoq, le bras droit du colonel Bozzo-Corona, le «Maître à tous», organise le vol de la caisse du banquier Bancelle, en 1825, tout en montant une machination compliquée destinée à égarer la justice sur un faux coupable (manoeuvre que les Habits noirs appellent «payer la loi», et qu'ils renouvelleront à chaque épisode). Ce faux coupable est André Maynotte, sur lequel Lecoq satisfait ainsi une ancienne vengeance. André Maynotte est condamné, mais réussit à s'enfuir... -
Extrait : "Ils étaient arrivés on ne savait trop d'où : deux hommes et une jeune dame. Leurs vêtements et leur apparence de lassitude semblaient annoncer une longue course à pied ; mais le maître du Mouton couronné n'avait point de défiance, et les avait crus sur parole lorsqu'ils lui avaient dit descendre de la voiture de Rennes."
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Les Errants de la nuit, écrit par Paul Féval, est un roman captivant qui plonge le lecteur dans un univers sombre et mystérieux. L'histoire se déroule au XIXe siècle, dans les rues sombres de Paris, où des créatures surnaturelles rôdent la nuit.
Le protagoniste, le jeune et intrépide Roland de Montrevel, se retrouve plongé dans une série d'événements étranges et terrifiants. Des meurtres sanglants, des disparitions mystérieuses et des phénomènes surnaturels se multiplient, semant la terreur parmi les habitants de la capitale.
Aidé par un groupe de chasseurs de vampires, Roland se lance dans une quête périlleuse pour démasquer les responsables de ces atrocités. Au fil de son enquête, il découvre un monde obscur où les créatures de la nuit se cachent parmi les humains, ourdissant des complots diaboliques.
Les Errants de la nuit est un roman qui mêle habilement suspense, action et fantastique. Paul Féval nous plonge dans une atmosphère gothique et envoûtante, où le danger rôde à chaque coin de rue. Les personnages sont complexes et attachants, et l'intrigue nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
Ce livre est un véritable chef-d'oeuvre du genre, qui ravira les amateurs de romans gothiques et de mystères surnaturels. Les Errants de la nuit est une lecture incontournable pour tous ceux qui aiment se plonger dans des univers sombres et envoûtants, où le surnaturel se mêle à la réalité.
Extrait : "Ce sont des paysages magnifiques et variés à l'infini : de grandes forêts, des rivières, des montagnes. Cela s'appelle les Ardennes ; c'est plein de souvenirs. Et nul ne saurait dire pourquoi la poésie s'est retirée de ces admirables campagnes. Est-ce l'odeur des moulins à foulons, ou la fumée noire des cheminées de la fabrique ? Cette charmante rivière, la Meuse, coule tout doucement et sans jamais faire de folies parmi les belles prairies un peu fades. " -
La Fabrique de crimes, écrit par Paul Féval, est un livre captivant qui plonge les lecteurs dans un univers sombre et mystérieux. L'auteur nous entraîne dans une intrigue complexe où se mêlent crimes, secrets et trahisons.
L'histoire se déroule dans une petite ville reculée, où une série de meurtres énigmatiques vient semer la terreur parmi les habitants. Le commissaire Dupin, un enquêteur brillant et perspicace, est chargé de résoudre ces crimes qui défient toute logique.
Au fil des pages, Féval nous dévoile les dessous d'une fabrique de crimes, où des individus sans scrupules orchestrent des assassinats pour des raisons inavouables. Les personnages, tous plus intrigants les uns que les autres, se croisent et se dévoilent peu à peu, révélant des secrets inattendus.
Avec une plume fluide et un sens du suspense maîtrisé, Paul Féval nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. Les rebondissements s'enchaînent, les fausses pistes se multiplient, et le lecteur est constamment tenu en éveil, cherchant à résoudre l'énigme avant le commissaire Dupin.
La Fabrique de crimes est un véritable page-turner, un roman policier qui saura captiver les amateurs de suspense et de mystère. Paul Féval nous offre ici un récit palpitant, où les crimes se révèlent être bien plus qu'une simple affaire de meurtres. Plongez dans cet univers sombre et laissez-vous emporter par cette intrigue haletante.
Extrait : "Voici déjà plusieurs années que les fabricants de crimes ne livrent rien. Depuis que l'on a inventé le naturalisme et le réalisme, le public honnête autant qu'intelligent crève de faim, car, au dire des marchands, la France compte un ou deux millions de consommateurs qui ne veulent plus rien manger, sinon du crime. Or, le théâtre ne donne plus que la gaudriole et l'opérette, abandonnant le mélodrame."