Filtrer
Support
Langues
Prix
Martine Fournier
-
Une histoire complète, de la préhistoire à nos jours, de la grande aventure qu'est la maternité.
Durant la préhistoire, les femmes accouchaient généralement seules, en position accroupie ou à même le sol, près d'une source ou d'une forêt afin d'accroître le pouvoir vital de la terre ! À plusieurs milliers d'années de là, les mamans du second millénaire mettent leurs bébés au monde dans des univers ultramédicalisés et peuvent recourir à des procréations médicalement assistées.
Une équipe d'historiens et d'historiennes, sociologues, psychologues, anthropologues et philosophes se penche ici sur les grandes questions soulevées par la naissance et la maternité.
Dans toutes les sociétés, le bébé est attendu avec impatience, les débats actuels ne le confirment pourtant pas toujours, et le désir d'enfant reste une énigme irrésolue... Qui pourrait nier cependant que la maternité constitue un des fondements de la vie sociale ? Car ce sont bien dans la majorité des cas les femmes qui enfantent et fabriquent les adultes de demain ! -
Un ouvrage permettant de faire le point via ses concepts-clefs de la notion parfois confuse de genre Un livre facile d'accès et d'utilisation
Martine Fournier, journaliste spécialisée dans la recherche des études de genre et du féminisme, nous livre dans ce texte une liste des mots-clefs touchant au concept de genre. Depuis l'apparition du terme et le développement des gender studies aux États-Unis dans les années 1970 puis en France au début des années 1980, la notion de genre n'a cessé d'évoluer et de se complexifier, pour parfois devenir un concept fourre-tout. Au travers d'une cinquantaine de mots allant d'androgynie au LGBTQIA+, en passant par la domination masculine, l'écriture inclusive ou le mariage pour tous, mais aussi de l'analyse des recherches d'auteur-e-s aussi incontournables que Simone de Beauvoir, Judith Butler ou Thomas Laqueur, ce livre vous donnera les clefs pour mieux comprendre et cerner le terme de " genre ". -
Des récits de vie souvent surprenants, qui montrent en quoi les femmes, dans leur diversité, ont contribué à écrire l'histoire de l'humanité. Femmes de pouvoir, guerrières, révolutionnaires, aventurières, intellectuelles, scientifiques ou artistes... Chacune, à sa manière a décidé de se consacrer à ses passions ou de lutter pour ses convictions. Certaines ont brillé par leur intelligence, leur curiosité, leur talent, leur indépendance ; d'autres par leur détermination ou leur ambition et leur goût du pouvoir. Les femmes présentes dans ce livre sont toutes des pionnières de l'émancipation qui, souvent sans le savoir, posaient les jalons de l'égalité des rôles entre les deux sexes. Elles n'étaient d'ailleurs pas les seules. À côté de ces figures marquantes, on trouvera des Amazones en armes dès l'Antiquité, des pirates et des militaires (souvent travesties), des " femmes savantes " qui ont produit et diffusé les savoirs, de nombreuses reines ou favorites dont la compétence n'eut rien à envier aux hommes, des abbesses qui dirigeaient d'importants couvents, des militantes et des rebelles...
Pour autant, elles n'ont pas, à leur époque, dynamité les préjugés sexistes. Certaines ont même payé de leur vie ces transgressions : Jeanne d'Arc a fini au bûcher, Olympe de Gouges a été décapitée... Et encore au xxe siècle, Marie Curie, Alexandra David Neel, Simone de Beauvoir ou Simone Veil ont essuyé les lazzis les plus humiliants. Jusqu'à il y a peu, l'histoire a été écrite au masculin, par et pour le sexe mâle qui régissait le pouvoir intellectuel.
Aujourd'hui, ces travaux sont réévalués. À l'heure où les femmes étudient, travaillent et font entendre leurs voix, on commence à porter un regard critique sur la grande histoire, qui les a souvent oubliées ou caricaturées. Ce n'est pas une histoire hagiographique que l'on trouvera ici, ni une sorte de tableau enthousiaste d'une émancipation qui se serait faite à marche forcée. Mais plutôt des récits de vie souvent surprenants, qui montrent en quoi les femmes, dans leur diversité, ont contribué à écrire l'histoire de l'humanité. -
Les mutations de l'école ; le regard des sociologues
Martine Fournier, Vincent Troger
- Sciences Humaines
- Les dossiers de l'éducation
- 7 Octobre 2011
- 9782361061418
L'école change. Tous les systèmes éducatifs occidentaux sont travaillés par les transformations sociales et culturelles des sociétés contemporaines. En France, le modèle républicain de référence s'en retrouve sérieusement ébranlé... pour le pire ou pour le meilleur... Au-delà des polémiques, comment prendre la mesure des changements qui se produisent dans l'école aujourd'hui ? Quelles sont les dynamiques qui travaillent l'institution scolaire ? Quels savoirs enseigner à ces nouveaux publics que forment les collégiens, les lycéens et les étudiants d'aujourd'hui ? L'école doit-elle transmettre des valeurs - et si oui, lesquelles ? Quels sont les termes du débat autour de la réussite scolaire, des inégalités, de la laïcité ? La sociologie de l'éducation s'est emparée de ces questions. Cet ouvrage propose un éventail des analyses les plus percutantes par quelques-uns des meilleurs spécialistes de la discipline, propres à éclairer la réflexion de chacun...
-
éduquer et former ; connaissances et débats en éducation et formation
- Sciences Humaines
- Ouvrage de synthèse
- 28 Janvier 2016
- 9782361063597
Un bilan des connaissances en éducation et formation.
-
Un livre-guide sur l'art d'éduquer aujourd'hui ! o L'art d'être parents ; o Comment gérer les questions d'autorité ; o L'education des bébés (la manière de les entourer et de les stimuler) ; o Gérer le passage à l'adolescence... Un livre-coffret illustré, élégant et facile à consulterEst-ce que vous élevez ou éduquez votre enfant ? Lorsqu'on leur pose cette question, beaucoup de parents s'insurgent ! Le terme " élever " est mal considéré dans l'opinion courante. On n'élève pas le " petit d'homme ", pas plus qu'on le dresse, telles nos néanmoins amies les bêtes. Élever renverrait donc aux conceptions anciennes du bébé-tube digestif, du petit être qu'il faut modeler pour le plier aux exigences de la société des adultes.
C'est pourquoi, au détour des années 1970, on s'est mis à " éduquer " les enfants plutôt que les " élever ". Éduquer - du latin " conduire hors de "- supposait un plus grand respect de l'enfant, considéré comme un être humain à part entière, doté de capacités propres, auquel on se devait d'apporter des nourritures psychiques et culturelles qui lui permettent de se développer...
Mais comment pourrait-on encore soutenir une telle opposition de modèles alors que nos sociétés sacralisent les enfants, les choient, les protègent, oeuvrent à leur épanouissement tout en enviant leur fraîcheur, leur spontanéité, leur jeunesse ? Et puis élever ne signifie-t-il pas d'abord " hisser vers le haut " ? N'est-ce pas aujourd'hui l'objectif de tous les parents que d'apporter à chacun les meilleures ressources possibles pour le faire grandir et se développer, tant en taille qu'en intelligence ; d'optimiser leur devenir physique et moteur, psychique et intellectuel, affectif et relationnel ? Finalement, que ce soit hier ou aujourd'hui, dans nos sociétés urbanisées ou dans les contrées plus lointaines, on élève ses enfants autant qu'on les éduque...
S'inspirant des travaux les plus récents sur la psychologie de l'enfant, la sociologie de la famille, l'anthropologie des cultures, cet ouvrage, dirigé par Martine Fournier, présente et analyse les " bonnes pratiques " dont on peut s'inspirer pour éduquer ses enfants et tente avec les spécialistes de répondre à la question que se posent tous les parents d'aujourd'hui : Comment rendre son enfant heureux ? -
L'intelligence de l'enfant
Martine Fournier, Roger Lecuyer
- Sciences Humaines
- Petite bibliothèque de sciences humaines
- 1 Septembre 2011
- 9782361061715
L'intelligence de l'enfant, comment ça marche ? Un livre pédagogique de référence qui fait le point sur les avancées de la psychologie, les neurosciences, la génétique en ce domaine.
-
Études françaises. Volume 52, numéro 2, 2016
Andrée Mercier, Élisabeth Nardout-Lafarge, Martine-Emmanuelle Lapointe, Laurence Côté-Fournier, Pierre-Luc Landry, Marie
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 4 Juillet 2019
- 9782760641082
L'apparition, au tournant des années 2000, de nombreuses maisons d'édition (dont Marchand de feuilles en 2000 ; Le Quartanier et Rodrigol en 2002 ; Alto et Ta mère en 2005 ; Héliotrope en 2006 ; La Mèche en 2010 ; Le Cheval d'août en 2014 pour n'en citer que quelques-unes), a été saluée comme « une renaissance » de la littérature du Québec. L'ampleur du phénomène et sa concentration dans le temps incitent à voir dans ce changement du paysage éditorial québécois une transformation susceptible d'affecter également et proportionnellement la pratique littéraire, tant sur le plan esthétique de la production que sur le plan critique de la réception. C'est l'hypothèse que ce dossier souhaite mettre à l'épreuve en confrontant l'étude de quelques-unes des pratiques éditoriales de ces nouvelles maisons à l'analyse de deux enjeux critiques majeurs de la littérature québécoise, l'identité et la langue, interrogés dans des corpus contemporains. En éclairant certains aspects du fonctionnement de maisons d'édition dont la création, en une décennie, constitue l'un des réaménagements les plus visibles du champ littéraire, ce dossier souhaite en interroger les conséquences pour la fiction narrative des années 2000 au Québec. Il propose une première réflexion, forcément exploratoire, sur la nature et l'étendue des changements qui s'opèrent et sur les critères qui permettent de les mesurer.
-
Études françaises. Volume 52, numéro 2, 2016
Andrée Mercier, Élisabeth Nardout-Lafarge, Martine-Emmanuelle Lapointe, Laurence Côté-Fournier, Pierre-Luc Landry, Marie
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 19 Décembre 2024
- 9782760653610
L'apparition, au tournant des années 2000, de nombreuses maisons d'édition (dont Marchand de feuilles en 2000 ; Le Quartanier et Rodrigol en 2002 ; Alto et Ta mère en 2005 ; Héliotrope en 2006 ; La Mèche en 2010 ; Le Cheval d'août en 2014 pour n'en citer que quelques-unes), a été saluée comme « une renaissance » de la littérature du Québec. L'ampleur du phénomène et sa concentration dans le temps incitent à voir dans ce changement du paysage éditorial québécois une transformation susceptible d'affecter également et proportionnellement la pratique littéraire, tant sur le plan esthétique de la production que sur le plan critique de la réception. C'est l'hypothèse que ce dossier souhaite mettre à l'épreuve en confrontant l'étude de quelques-unes des pratiques éditoriales de ces nouvelles maisons à l'analyse de deux enjeux critiques majeurs de la littérature québécoise, l'identité et la langue, interrogés dans des corpus contemporains. En éclairant certains aspects du fonctionnement de maisons d'édition dont la création, en une décennie, constitue l'un des réaménagements les plus visibles du champ littéraire, ce dossier souhaite en interroger les conséquences pour la fiction narrative des années 2000 au Québec. Il propose une première réflexion, forcément exploratoire, sur la nature et l'étendue des changements qui s'opèrent et sur les critères qui permettent de les mesurer.