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Jean Paul Brighelli
13 produits trouvés
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Paraissant pour la rentrée 2024, un essai choc qui dénonce la propagation d'idées extrémistes au sein des salles de classe. Profs en danger ? Noyau familial trop présent ? Une réforme du système éducatif est nécessaire ! Par l'auteur de La Fabrique du crétin, vendu à plus de 150 000 exemplaires. Rentrée scolaire : le nouveau coup de gueule de Brighelli Samuel Paty, professeur d'histoire décapité en 2020...
Dominique Bernard, professeur de Lettres poignardé à mort dans son lycée d'Arras en 2023... Et tant d'autres menacés, insultés, agressés chaque jour dès qu'ils s'avisent de heurter les convictions des élèves et de leurs parents.
Pour les enseignants, l'école se fait désormais la boule au ventre, sous le regard suspicieux de mouvances religieuses radicalisées, soutenues parfois par les enseignants eux-mêmes.
Alors que l'École publique traverse une crise multiforme, Jean-Paul Brighelli plaide en faveur d'un système éducatif restauré et d'une laïcité intransigeante pour contrer l'emprise de l'entrisme islamiste.
Les enseignants doivent retrouver le droit d'instruire enfants et adolescents, sans s'autocensurer. Est-il vraiment trop tard, face aux réseaux infiltrés du fanatisme, pour ressusciter ces " hussards noirs de la République " que furent jadis les instituteurs ? -
Paraissant à la rentrée 2023, un essai choc contre l'exclusion scolaire et fustigeant la faillite du système éducatif, par l'auteur de La Fabrique du crétin, vendu à plus de 150 000 exemplaires.Dans les rouages de la Fabrique du CrétinLa mixité scolaire est une supercherie. Neuf élèves sur dix sont con cernés dans des établissements de second ordre, pour ne pas dire des ghettos éducatifs. Les autres pratiquent l'entre-soi. C'est cela, l'" héritocratie ".
Depuis quarante ans, les politiques publiques ont prétendu rectifier ce déséquilibre. Elles sont parvenues au résultat inverse : une minuscule élite sociale a élaboré les conditions de sa reproduction.
Un système à deux vitesses s'est mis en place, conforté par toutes les décisions prises pour --prétendument - l'empêcher.
L'égalité des chances et la mixité sociale sont pourtant de l'intérêt des " bons élèves ", qui ont tout à y gagner ; mais aussi de la nation, qui se suicide lentement en se privant de 90% de ses forces vives.
Non, l'évaluation permanente des " compétences " ne prime pas la transmission des savoirs. Non, la vocation de l'enseignement n'est pas de faire garderie, de surnoter les élèves ni d'encenser le " vivre ensemble ". Et non, les pauvres ne sont pas plus bêtes que les riches.
Il est temps d'amener chaque élève au plus haut de ses capacités, par un travail assidu, des horaires et des programmes différenciés.
Temps de restaurer un authentique élitisme républicain, digne d'un pays qui fut jadis l'exemple de l'efficience scolaire.
Monter le niveau d'exigence, c'est élever le niveau de tout un peuple.
Sans quoi nous allons droit vers une déflagration qui ne serait pas seulement scolaire. -
Soleil noir : Un médecin à la cour de Louis XIV
Jean-Paul Brighelli
- Archipel
- 6 Juin 2024
- 9782809848311
Alors que s'organisent les persécutions contre les protestants dans la France de Louis XIV, un jeune seigneur cévenol et son ami médecin se rendent à Versailles pour demander audience au Roi Soleil... Un roman historique " à la Dumas ", foisonnant et captivant. Ombres et lumières à la cour du Roi Soleil Languedoc, 1685. Sous l'influence de Madame de Maintenon, Louis XIV a révoqué l'Édit de Nantes : les protestants doivent se convertir - ou mourir. Déjà les premières dragonnades ont lieu dans les Cévennes : le prétendu marquis de Souvré, cruel et vaniteux, se fait un devoir de passer les huguenots par le fer et par le feu.
Pierre d'Aumelas, fougueux seigneur d'un des villages martyrs, décide de porter une protestation à Versailles. Accompagné de son jeune frère de lait Balthazar, descendant de Maures espagnols et médecin déjà réputé, le voilà qui chevauche vers Paris.
Mais obtenir une audience du roi est difficile, d'autant que Sa Majesté est gravement malade. Et que Souvré est prêt à tout pour causer sa perte. Pierre s'en remet dès lors au Grand Condé, auprès duquel il a jadis guerroyé dans les Flandres...
Duels sans merci, intrigues amoureuses, festins orgiaques, massacres, viols, exécutions : voici l'envers du " Grand Siècle ", miné par les querelles au sommet de l'État, les ambitions de Louvois, la vieillesse de Condé.
Fondé sur des faits vrais, ce roman de cape et d'épée offre le portrait d'une France plongée dans un " petit âge glaciaire " et sur laquelle le Roi-Soleil jette autant d'ombre que de lumière. -
La fabrique du crétin Tome 2 : vers l'apocalypse scolaire
Jean-Paul Brighelli
- Archipel
- La fabrique du crétin - Vers l'apocalyps
- 24 Mars 2022
- 9782809843989
Pourquoi l'Éducation nationale a-t-elle autorisé les dérives successives qui ont amené à l'apocalypse scolaire ? Quinze ans après La Fabrique du crétin (160 000 ex vendus), Jean-Paul Brighelli poursuit la réflexion et dresse un bilan alarmiste, sans langue de bois.
La mort programmée de l'écoleL'École de la transmission des savoirs et de la formation des citoyens est à l'agonie. Elle accomplit aujourd'hui ce pour quoi on l'a programmée voici un demi-siècle : adaptée aux nécessités du marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs semi-illettrés et satisfaits d'eux-mêmes. Soucieuse d'élaborer enfin l'égalité promise par la République en nivelant par le bas, elle a réussi à détruire ce que la France avait mis deux cents ans à élaborer.
Plus de quinze ans après avoir prédit sa mort programmée, Jean-Paul Brighelli revient au chevet de l'École et la trouve plus mal en point que jamais. Collège unique, " pédagogisme ", méthode globale, regroupement familial, laïcité à géométrie variable... les causes sont nombreuses, et l'action de Jean-Michel Blanquer - dont il dresse aussi le bilan contrasté - n'a pu empêcher la déroute, surtout en temps de Covid.
Aujourd'hui, l'École est au pied du mur : elle sera " soit l'instrument d'une dissolution dans l'individualisme et le communautarisme, soit l'outil d'une résurrection ". Est-il trop tard pour réagir ? -
Brême, avril 2000. Vladimir Poliakov, 90 ans, transporte une lourde valise. Sans prêter attention aux gouttes de pluie, le vieil homme se dirige vers le musée dont il a griffonné l'adresse sur un bout de papier : Am Wall 207. Arrivé à la Kunsthalle, il est reçu par la conservatrice en chef, à qui il dévoile ses chefs-d'oeuvre : des dessins de Du rer, des esquisses de Rembrandt, des aquarelles de Rubens... Une collection inestimable ! Comment cet ancien commandant de l'Armée rouge a-t-il pu mettre la main sur ces oeuvres spoliées aux juifs par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale ? Et pourquoi, tant d'années après, les morts s'accumulent-ils encore sur la piste de ce trésor oublié ? Ioulia Kovalenko, journaliste indépendante, ne vient-elle pas d'être torturée à mort pour prix de sa curiosité ? C'est dans cette nasse pleine de fric et de sang que va tomber à son tour Pierre Loutrel, respectable professeur d'histoire de l'art, contacté par un agent américain pour mettre la main sur la totalité de cette fabuleuse collection... Mais les tueurs ukrainiens ne sont pas des poètes...
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Sade
Jean-Paul Brighelli
- Larousse (réédition numérique FeniXX)
- La vie, la légende
- 23 Octobre 2015
- 9782035920850
Sade est le plus méconnu des hommes célèbres. Fils de famille d'ancienne noblesse provençale, il est, en raison de ses débauches de grand seigneur libertin, emprisonné à plusieurs reprises sous l'Ancien Régime. Acteur de la Révolution française, il est, de nouveau, incarcéré lors de la remise en ordre politique et morale du Consulat. Une légende noire peut alors naître de sa vie scandaleuse et de ses romans voués à l'enfer des bibliothèques. Sade, auteur érotique, pornographique, politique, incarne, presque à la perfection, le mythe de l'écrivain persécuté par tous les pouvoirs. Insulté, occulté, accablé d'opprobres, le malheureux marquis fut, à son corps défendant, le père putatif du sadisme sans que rien dans sa vie pourtant n'autorisât une réputation aussi sulfureuse. La vie du Divin Marquis, telle que la biographie la plus scrupuleuse nous la révèle, n'est que la partie émergée d'une masse de conspirations, de conjurations et de contresens qui ont, depuis deux siècles, façonné la légende de Sade. Au récit de la vie du marquis, s'ajoute ici la réception dans l'histoire intellectuelle de la figure et des écrits de Sade, l'analyse des mythes sadiens qui, à force de tirer vers le blanc ou le noir, ont fini par masquer l'oeuvre de l'un des penseurs les plus originaux du XVIIIe siècle.
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Dix ans déjà - la Fabrique du crétin dressait le constat lucide et accablant des dysfonctionnements de l'Ecole de la République.
Aujourd'hui, Tableau noir dresse le constat impitoyable d'une faillite générale, malgré les pseudo-réformes entreprises - ou à cause d'elles. Venu au pouvoir avec un pseudo- projet de refondation, le gouvernement socialiste a achevé le désastre initié dans les années 1990. Une faillite voulue, conforme aux engagements européens d'une France à bout d'école comme on est à bout de souffle. Faillite de la formation - seuls les élèves
Et parallèlement, on massacre aussi les enseignants - quand on en trouve encore : parce qu'il ne suffit pas de vouloir recruter, encore faut-il réinventer un métier chaque jour plus difficile. Elèves ou professeurs, c'est encore et toujours Mozart qu'on assassine, en privilégiant un « socle » dont les ambitions sont chaque année revues à la baisse - et les résultats flamboyants d'un Bac qui ne veut plus rien dire sont, sans paradoxe, l'attestation la plus exemplaire de la faillite du système.
Ce n'est que par un redressement national exemplaire que l'on redonnera à l'Ecole l'éclat qui fut le sien, et que l'on formera les générations futures. Tableau noir, au-delà du constat accablé, est un livre de propositions.
les plus favorisés échappent au délitement général, et encore pas toujours, seuls les enseignants les plus rebelles parviennent encore à accomplir leur mission -, faillite de la transmission : ce n'est plus une culture que les enseignants, mal recrutés, mal formés, mal aimés, tentent de faire passer, mais le Grand Gloubi-boulga - le pré-mâché passe- partout qui laisse 18 % d'élèves sur le mauvais côté de l'alphabétisation, et envoie chaque année 150 000 adolescents à la rue - surtout s'ils en viennent.
Parce que la faillite principale, c'est celle du renouvellement social. Ce sont prioritairement les plus pauvres qui paient le plus cher. Loin de les pousser au plus haut de leurs capacités, on ne leur donne même plus les bases qui leur permettraient de comprendre qu'on les sacrifie.
Mais Brighelli ne fait pas que dénoncer, il propose un ensemble de solutions pour redonner du sens à l'Éducation nationale :
- Abandon de la théorie des 80 % d'une tranche d'âge ayant le bac
- Retour à l'examen d'entrée en 6 ème pour valider les acquis : lecture, écriture, calcul
- Valorisation du travail des profs par la revalorisation de leur salaire.
- Développement des bourses d'études, mais maintien de celles-ci en fonction des résultats de l'élève.
- Défense d'une absolue laïcité. -
Liberté - égalité - laïcité
Jean-Paul Brighelli
- Hugo Document
- Hors collection
- 27 Août 2015
- 9782755625110
Il en est de la laïcité comme des « je t'aime » : y ajouter quoi que ce soit, c'est diminuer la force de l'affirmation. La laïcité, comme la République, est une et indivisible.«Laïcité ouverte », « laïcité aménagée », à géométrie variable, adaptée aux communautés dont la mosaïque constitue aujourd'hui la France. Les récents attentats du mois de janvier ont donné aux vrais partisans d'une laïcité sans concession l'espoir, vite déçu, que le gouvernement avait enfin pris au sérieux les avertissements circonstanciés qui depuis quinze ans nous prévenaient de la radicalisation des jeunes. Nous avons laissé filer la laïcité, sous prétexte de nous adapter aux « nouveaux publics », nous avons abandonné la Culture aux confessions de toutes origines sous prétexte d'oecuménisme, et pour respecter le « droit à l'expression » et nous avons laissé la place à des fanatiques en puissance. C'est cet émiettement de la laïcité qu'analyse ce livre.
La laïcité est née bien avant la loi de 1905. Elle est fille des Lumières. Elle s'oppose depuis toujours aux forces de la nuit - aux croyances irrationnelles, au sentiment anti-républicain, au mépris de l'égalité entre tous les citoyens - particulièrement de l'égalité entre hommes et femmes. Elle ne saurait être « aménagée ». Il en est de la laïcité comme des déclarations d'amour : ajouter quoi que ce soi à « je t'aime », « bien » ou « beaucoup », c'est diminuer la force de l'affirmation. La laïcité, comme la république, est une et indivisible.
Non seulement la loi de 1905 doit être appliquée, mais elle doit probablement être réécrite. Promulguée à une époque où le seul adversaire sur le terrain de la République était l'église catholique, elle ignorait qu'aujourd'hui un Islam conquérant se dresserait contre la République, et dresserait les citoyens les uns contre les autres.
Nous devons revenir urgemment aux grands principes de la Révolution française, sous peine d'avoir chez nous une révolution d'un tout autre genre, dont il n'est pas sûr que la liberté et l'humanisme sortent vainqueurs. -
Voltaire ou le jihad ; le suicide de la culture occidentale
Jean-Paul Brighelli
- Archipel
- 1 Décembre 2015
- 9782809817843
Vilipendée par des médias soucieux de ne fâcher personne, la " culture européenne " est aujourd'hui concurrencée par les " cultures plurielles ".Dans les cervelles soigneusement vidées des nouvelles générations peuvent dès lors s'insinuer des cultures de substitution, " culture des banlieues ", " culture jeune ", bien frêles face à l'offensive de l'islam fondamentaliste. Les nouvelles technologies, proposées comme panacée, sont le vecteur de cette substitution.Héritière de siècles de marche vers la lumière, la culture française doit aujourd'hui affronter une culture obscurantiste, celle du jihad mondial.À moins d'une prise de conscience radicale, l'issue du combat est fort douteuse. Sommes-nous vraiment les héritiers de Voltaire, ou glissons-nous vers la barbarie sans nous en apercevoir ? Question posée dans ce livre, qui désigne les responsables et les complices de cette démission.
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C'est le français qu'on assassine
Franck Spengler, Jean-Paul Brighelli
- Blanche
- Documents
- 7 Septembre 2017
- 9782846287340
En s'attaquant à notre langue, c'est à la Nation que l'on s'attaque.« La France, ton français fout l'camp ! » : baisse dramatique du niveau orthographique, conséquence d'un enseignement à la dérive ; réformes absurdes de l'apprentissage de la langue, « négociations » en classe sur la graphie et « simplification » de la grammaire - jusqu'à ce qu'il n'en reste rien ; utilisation massive de l'anglais - et, pire, du globish - par de hautes instances françaises, y compris des candidats à la présidence de la République...
Tout révèle une inspiration commune : la langue, c'est la Nation, et dans le grand concert mondialisé, les nations ne sont pas bienvenues.
Du coup, les « communautés » s'organisent autour de leurs propres langages, et y sont souvent encouragées par l'institution éducative : l'arabe ou le turc oui, mais le français, de moins en moins. Si la langue française est la base de notre culture, la dégrader peut suffire à suicider une France vieille de douze siècles.
Mais c'est cela aussi, l'objectif : la France doit disparaître, et c'est en attaquant à la base sa langue et sa culture qu'on en finira le plus vite avec elle.
Annihiler la cinquième langue la plus parlée au monde n'était pas une mince affaire. Mais si nous continuons sur notre lancée autodestructrice, à l'horizon 2030, ce sera fait.
Que faire ? C'est par l'apprentissage systématique de la langue - dans ce qu'elle a de plus beau et de plus emblématique - que nous pouvons échapper au sort qui nous est promis par le néo-libéralisme : intégrer et assimiler la mosaïque de populations qui se pressent sur notre territoire. C'est par la langue que nous pouvons résoudre les tensions entre « communautés » - un joli mot inventé pour faire croire qu'il n'y a plus de communauté unique des citoyens français.
C'est par la langue que nous pouvons résister à la déferlante de cette mondialisation qui prétend nous éparpiller façon puzzle. -
Proust
Carole Auroy, Christian Biet, Jean-Paul Brighelli
- FeniXX réédition numérique (Gallimard)
- Les écrivains du bac
- 24 Janvier 2019
- 9782402614429
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Flaubert, Madame Bovary
Christian Biet, Jean-Paul Brighelli, Anne Brunswic
- FeniXX réédition numérique (Gallimard)
- Les écrivains du Bac - Lire
- 4 Janvier 2019
- 9782402614221
Avec « Madame Bovary », son premier roman, Gustave Flaubert devient, en 1857, un auteur célèbre et scandaleux. D'un sujet banal et provincial, aux antipodes de sa sensibilité nourrie d'Orient, d'Antiquité et de rêveries flamboyantes, il a tiré le chef-d'oeuvre du roman réaliste. Jamais l'enquête préparatoire à un roman ni le travail du style, ne furent poussés aussi loin. Son oeuvre se poursuivra au rythme lent d'un livre tous les cinq ans, alternant les récits réalistes comme « L'éducation sentimentale » ou les « Trois contes », et les oeuvres symbolistes comme « Salammbô » ou « La tentation de Saint Antoine ». Enfin, Flaubert se lance dans le roman, qui le vengera définitivement de l'imbécillité de son siècle : « Buvard et Pécuchet ». Il mourra à sa table de travail, sans avoir pu l'achever.
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Baudelaire
Christian Biet, Jean-Paul Brighelli, Anne Brunswic
- FeniXX réédition numérique (Gallimard - Lire)
- Les écrivains du bac
- 4 Janvier 2019
- 9782402614412
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.