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Buchet Chastel
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Julie, jeune femme tétraplégique, n'est pas vraiment comme les autres. Installée dans son fauteuil, elle observe le monde qui bouge autour d'elle et commente notre époque avec un humour acide. Adepte de la plume, elle brosse des caractères et des histoires.
Anissa, Félix, Pétronille, Barnabé et tous les autres, purs produits de son imagination, sont drôles, surprenants, méchants ou attachants,sensibles ou inquiétants, donc pleins d'humanité.
Les autres ne sont pas des gens comme nous, comme tous les romans de J.M. Erre, joue librement avec les mots et la littérature. -
Enfant morose, adolescent cafardeux et adulte neurasthénique, Michel H. aura toujours montré une fidélité remarquable à la mélancolie. Mais le jour où sa compagne le quitte, Michel décide de se révolter contre son destin chagrin. Il se donne douze heures pour atteindre le bien-être intérieur et récupérer sa bien-aimée dans la foulée. Pour cela, il va avoir recours aux pires extrémités : la lecture des traités de développement personnel qui fleurissent en librairie pour nous vendre les recettes du bonheur...
Quête échevelée de la félicité dans un 32m2 cerné par des voisins intrusifs, portrait attendri des délices de la société contemporaine, plongée en apnée dans les abysses de la littérature feel-good, Le bonheur est au fond du couloir à gauche est un roman qui vous aidera à supporter le poids de l'existence plus efficacement qu'un anti-dépresseur.
J.M. Erre est né à Perpignan en 1971. Il vit à Montpellier et enseigne le français et le cinéma dans un lycée de Sète. Il écrit des romans publiés par Buchet/Chastel depuis 2006. -
Margoujols, petit village reculé de Lozère, abrite depuis 70 ans les rescapés d'un cirque itinérant qui proposait un freak show : femme à barbe, soeurs siamoises, homme-éléphant, nain, colosse...
L'histoire s'ouvre sur la découverte du cadavre atrocement mutilé de Joseph Zimm, dit "l'homme-homard". Qui a tué cet ancien membre du cirque des monstres, et pourquoi ? L'enquête menée par l'adjudant Pascalini et son stagiaire Babiloune va révéler des secrets enfouis depuis des lustres dans les hauteurs du Gévaudan.
Lucie, la fille du maire de Margoujols, une jeune femme paraplégique communiquant par l'intermédiaire d'un ordinateur, va épauler les gendarmes dans leur enquête. Elle est aussi la narratrice de cette histoire rocambolesque qu'elle raconte au jour le jour à la manière d'un polar pimenté d'une bonne dose d'humour noir, tout en livrant ses réflexions décalées sur des sujets aussi variés que la littérature policière, le handicap, les artichauts, les cimetières, les réseaux sociaux et, bien sûr, les monstres...
J.M. Erre est né à Perpignan en 1971. Il vit à Montpellier et enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il écrit des romans publiés par Buchet/Chastel depuis 2006. -
Meiringen, Suisse. Les pompiers dégagent l'accès à l'hôtel Baker Street. Cet établissement, charmant et isolé, a été coupé du monde pendant trois jours à cause d'une avalanche. Personne n'imagine que, derrière la porte close, se trouve un véritable tombeau. Alignés dans la chambre froide reposent les cadavres de dix universitaires.
Tous sont venus là, invités par l'éminent professeur Bobo, pour un colloque sur Sherlock Holmes. Un colloque un peu spécial puisque, à son issue, le professeur Bobo devait désigner le titulaire de la toute première chaire d'holmésologie de la Sorbonne. Le genre de poste pour lequel on serait prêt à tuer...
Hommage à Sherlock Holmes et à Agatha Christie ; regard amusé sur le petit monde de l'Université ; humour et légèreté. Pour lutter contre la déprime ambiante, Le Mystère Sherlock est idéal !
J.M. Erre est né à Perpignan en 1971. Il vit à Montpellier et enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il écrit des romans publiés par Buchet/Chastel depuis 2006. -
Max Corneloup, auteur de romans-feuilletons, vient d'aménager au 5, rue de la Doulce Belette. Pile en face de chez lui, Eugène Fluche, artiste peintre collé à sa fenêtre, l'observe à longueur de journée. Exaspéré, Max se met à espionner les moindres gestes d'Eugène et consigne le tout dans son journal intime. Pour entretenir ce climat de méfiance, il y a la concierge, Madame Brichon, un cinéaste fou, Monsieur Zamora, un auteur de romans érotiques, Lazare Montagnac, un chien, Hector, et d'autres personnages hauts en couleur...
L'inquiétude gagne. Au premier cadavre suspect, le commissaire Taneuse, un drôle de zigue, est dépêché sur les lieux. Qui se cache derrière cette affaire ? À qui profite le crime ?
Prenez soin du chien est un vrai film ! L'idée de l'auteur : mettre en place une structure fragmentaire permettant une succession de séquences courtes ; privilégier un récit à rebondissements ; travailler une écriture "visuelle" dans l'évocation des décors, la caractérisation des personnages, la vivacité des dialogues. Résultat : la dimension ludique est omniprésente. J. M. Erre ne nous laisse aucun répit. Comme dans un jeu de piste ou un labyrinthe, chacun cherchera les réponses, hésitera, tâtonnera, entre rire et dérision, jusqu'à l'épilogue. -
L'action se déroule le samedi 7 juin 2042, à 20h42. Durant cette minute qui n'en finit jamais, de nombreux personnages vont se croiser dans les rues d'un petit village de la campagne française après l'apparition d'une soucoupe volante et la tentative d'enlèvement d'un villageois par des extraterrestres. Parmi eux, on suivra notamment le destin de : Alex, un réfugié monégasque qui n'aurait jamais dû se rendre avec sa future ex-fiancée à une soirée costumée pleine de culturistes ; Lucas, un auteur de science-fiction en panne d'inspiration qui n'aurait jamais dû ouvrir sa porte à Maryline Monreau ; le Grand Joël, auteur de L'Incroyable Révélation, un modeste essai qui apporte une réponse définitive aux plus grands mytères de l'univers ; Madeleine, maire du village et conceptrice d'une technique imparable pour échapper aux angoisses existentielles ; Bob et Douglas, les philosophes du bar local, qui commentent l'action avec l'ampleur lyrique d'un choeur antique (ou presque) ; et, en guest star, Alain Delon, dans un rôle inédit...
Dans ce nouveau roman jubilatoire de J.M. Erre, c'est le monde de la science-fiction qui sert de terrain de jeu. Pour le plus grand plaisir du lecteur, voici des péripéties et des personnages décalés dans une histoire qui traite de mécanique quantique et de peur de l'autre, de paradoxe temporel et de gobage de poulpe... -
L'orphelinat de Chengdu constituait une preuve irréfutable de l'existence de Dieu. Seule une volonté surnaturelle, exercée à plein temps, pouvait maintenir debout ce tas de cailloux dénommé "Asile Sainte-Thérèse des Bienheureux".
Toussaint, ému et péteux, frappa trois coups à une grande porte rongée par les vers. L'être qui lui ouvrit constituait une preuve irréfutable de l'existence de Dieu. Seule une volonté surnaturelle, exercée à plein temps, pouvait maintenir debout le tas d'os dénommé "soeur Marie-Béate".
- Bienvenue, mon fils. Tu es ici chez toi.
Toussaint Legoupil est préoccupé par le mystère de sa naissance. Il est persuadé de ne pas être comme les autres. Et il a raison. Quelle ne sera pas ta surprise, lecteur, en découvrant que Toussaint vient de Chine. Quelle a pu être la réaction de ses parents le découvrant à l'orphelinat de Chengdu ? Les Legoupil ont fait des milliers de kilomètres, ils ont attendu plus de trois mois sur place. Ils croyaient rentrer en France avec un petit Asiatique et c'est Toussaint qui apparaît.
Or il n'a rien d'un Asiatique. Il est noir. Type africain évident. Toussaint est un Chinois noir. Et il veut savoir pourquoi.
Made in China est un roman joyeux et ludique. Comme dans un singulier jeu de piste, les personnages - hauts en couleur - et le lecteur - amusé - chercheront les réponses jusqu'à l'épilogue. -
Construit sous la forme d'une course poursuite, La Fin du monde a du retard met en scène Alice et Julius, deux amnésiques qui s'évadent de la clinique psychiatrique où ils sont traités. En effet, Julius s'est donné pour mission de déjouer un terrible complot qui menace l'humanité. Poursuivis par la police, par des journalistes et par de mystérieux personnages de l'ombre, ils iront de péripéties en rebondissements jusqu'à l'incroyable révélation finale.
Comme dans chacun de ses romans, J. M. Erre joue avec les codes d'un univers de la culture populaire (le cinéma bis dans Série Z ou le roman policier dans Le Mystère Sherlock). Dans ce nouvel opus, ce sont les thrillers ésotériques à la Da Vinci Code qui servent de terrain de jeu.
En s'interrogeant de façon décalée sur la manière dont chacun construit ses certitudes, La Fin du monde a du retard se veut avant tout un récit joyeux sur ce qui fait à la fois le malheur et la grandeur de l'être humain : sa capacité à se raconter des histoires !
J. M. Erre est né à Perpignan en 1971. Il vit à Montpellier et enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il écrit des romans publiés par Buchet/Chastel depuis 2006. -
Félix Zac vit aux crochets de Sophie - qui a de nombreuses qualités, dont la plus remarquable est de supporter Félix. Elle a seulement des doutes, parfois, sur la santé mentale de son ami, qui a tendance à mélanger fiction et réalité.
Cinéphile, Félix écrit des scénarios qu'il n'achève jamais. Jusqu'au jour où, mystérieusement inspiré, il met un point final à L'Hospice de l'Angoisse. L'intrigue se passe à la Niche Saint-Luc, joyeuse maison de retraite où de vieux acteurs terminent leur existence. Dans cet établissement au-dessus de tout soupçon, un cadavre va semer le trouble. D'autant plus qu'il est le premier d'une longue série... Félix est sûr du succès : un certain Boudini, producteur à Rungis, s'intéresse à son chef-d'oeuvre ! Les ennuis commencent quand la fiction rattrape la réalité, et que de vrais cadavres se ramassent à la pelle... Où est le vrai ? Où est le faux ?
J.M. Erre est né à Perpignan en 1971. Il vit à Montpellier et enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il écrit des romans publiés par Buchet/Chastel depuis 2006.